DEUXIÈME TRIMESTRE 2005 « La foi qui n'agit point, est-ce une foi sincère ?»   

 Numéro 40

              

Sale et triste vision  

 

Une fois de plus, au concours mal nommé de l' « Eurovision », c'est une caricature de l'Europe qui a triomphé par le biais d'une chanteuse grecque qui a chanté en... anglais.

C'est un symbole caricatural de plus d'une Europe dont la devise est « Unie dans la diversité » (article I-8) mais qui foule de plus en plus aux pieds la diversité culturo-linguistique.

Nous avons déjà vu comment la Commission de Bruxelles, qui est à 100% pour le OUI au projet de Constitution européenne, interprétait elle-même cette unité dans la diversité en contraignant les pays candidats à l'adhésion à l'Union européenne à remettre leurs dossiers en aucune langue autre que l'anglais.

Il n’y a pas moins de 1500 groupes de pression (dont la principale ou l'unique langue de travail est sans nul doute l'anglais) qui, à Bruxelles, parviennent à influencer la politique européenne bien plus que ne peut le faire un parlement élu prétendument «adémocratique ».

 

 

 

M. Henri Masson,

www.esperanto-sat.info

(85) Moutiers-les-Mauxfaits

 

 

M. Abdou Diouf,  Président de la Francophonie  

 

Pour la création du Concours de la Francovision, 

écrivons à :

Monsieur Abdou Diouf,

Secrétaire général de la Francophonie
28, rue de Bourgogne
75007 Paris

Tél. : 01 44 11 12 50

Télécopie : 01 44 11 12 76

Haut de page