Sujet : Irena, encore un machin pollué au tout anglais
Date : 27/01/2009
Envoi d'Aleks Kadar  (courriel : alekska(chez)gmail.com)     Mesure anti-pourriels : Si vous voulez écrire à notre correspondant, remplacez "chez" par "@"

 

Une info qui ne nous étonnera pas de la part de notre gouvernement anglo-colonisé.

Il devrait être ajouté « sa mission : promouvoir les énergies renouvelables, et la langue internationale obligatoire, l'anglais ».

Quoique, pour une fois que ce n'est pas l'UE qui se distingue dans le tout-anglais, on devrait se réjouir.

Possible de commenter en ligne.

AK
 

Naissance d'Irena, l'Agence internationale pour les énergies renouvelables

L'agence internationale pour les énergies renouvelables a été créée aujourd'hui à Bohn par 50 pays. Les États-Unis, le Japon, le Brésil et la Chine ne se sont pour le moment pas associés à l'aventure.

 

Jean-Louis Borloo, ministre de l'Environnement, comptait bien faire participer la France à l'aventure. Le ministère des Affaires étrangères y était moins favorable. Sa raison : l'anglais y est la seule langue de travail. L'Élysée non plus n'était guère plus motivée mais la France a quand même signé. Mission de cette nouvelle agence : promouvoir le solaire, l'éolien, la biomasse, les biocarburants... afin de sortir la planète du « tout-carbone ».

Jeudi, le dirigeant de l'agence sera nommé, et le siège choisi. L'Allemagne, l'Espagne et le Kenya, Abu Dabi, entre autres pays, se battent pour recevoir l'agence. Le budget annuel de l'agence sera de 25 millions de dollars.

MB