Sujet :

Campagne « Communes de France pour la langue française »

Date :

20/03/2013

D'Albert Salon (courriel : albertsalon(chez)noos.fr)  

Mesure anti-pourriels : Si vous voulez écrire à notre correspondant, remplacez « chez » par « @ ».

Campagne Communes de

France :

 Pourquoi, Comment ?

 

Quels sont le sens et la démarche de cette grande campagne nationale « Communes de France pour la langue française » ?

- Nécessité de faire remonter politiquement la vox populi, qui est, elle, profondément attachée à la langue de la République (sans préjudice des langues régionales enracinées, parties fortes de notre patrimoine !).

- Puisqu'un referendum est peu vraisemblable dans le contexte actuel des prétendus « partis de gouvernement », il faut un autre canal pour que le peuple exprime son amour du français.

- Cet autre canal passe par les Communes ; c'est le vote d’un manifeste (préparé et endossé par 40 associations), par de nombreux conseils municipaux, notamment de villes emblématiques de notre histoire (de Domrémy, Vaucouleurs et Chinon à Orléans, Reims et Rouen ; de Lille à l'Île de Sein et à Colombey ; de Lyon à Cluny et Cîteaux, à Vézelay, à Chartres, à Notre Dame ; d'Ajaccio à Brienne, à Malmaison, à Champaubert, Montmirail et Fontainebleau ; de Soissons à Senlis, à Saint-Denis, Villers-Cotterêts et Versailles ; d'Alésia à Crécy, Reichshoffen-Froeschwiller et Saumur ; de Poitiers à Rocroi, Denain et Verdun...), mais aussi de communes moins célèbres, jusqu'au plus petites et plus modestes ;

- dans le but de présenter, au printemps 2014, un magnifique bouquet de votes de communes des diverses régions de la France, équivalant alors à un referendum d'initiative populaire en faveur de la langue française que les Français tiennent à garder, et contre ce globiche que d’aucuns veulent nous imposer, pour le seul profit d'une superclasse mondiale apatride financiarisée et désincarnée ;

- tout le monde est invité à participer activement à cette campagne nationale « Communes de France pour la langue française », lancée par l'association Avenir de la langue française (ALF) et soutenue par 32 associations françaises pour le français et la Francophonie, et 8 étrangères, surtout québécoises ;

- il s’agit pour chacun d’entre vous d’aller voir son maire – ou son député ou tel conseiller municipal connaissant bien ce maire pour obtenir de celui-ci qu’il soumette le manifeste au vote de son conseil municipal ;

- la lettre-type jointe, destinée aux élus, peut être modifiée et adaptée par vous aux profils particuliers de votre maire et de votre commune ;

- le manifeste joint – franco-québécois - proposé au vote de chaque conseil municipal, peut être amendé par le maire et son conseil ; il peut, par exemple, comprendre un ajout concernant l’amélioration de la qualité de l’enseignement du français à l’école ou aux adultes immigrés, ou encore une profession de foi en faveur de la langue régionale là où il en existe une, l’attachement viscéral à icelle n’étant pas incompatible avec la volonté ferme de garder le français langue de la République, et de refuser le globiche avec vigueur.

La même démarche - adaptée aux conditions locales différentes - vient d’être lancée au Québec et en Wallonie, déjà portée par des associations dans ces deux pays francophones.

 

Albert Salon, docteur d’État ès lettres, ancien ambassadeur, président d’Avenir de la langue française (ALF).

 

 

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Langue française et monde multipolaire :

l'urgence d'une stratégie

 

 

Nous envisageons l’avenir de la langue française avec confiance. En dépit des fausses évidences.

Un monde multipolaire émerge sous nos yeux. Il contribue manifestement à rééquilibrer les activités de la famille humaine non seulement dans les domaines économique, financier et politique, mais également dans les domaines culturel et linguistique. Sous toutes les latitudes, de la Chine à la Russie, du Brésil à l’Inde, des politiques linguistiques se décident, de nouveaux espaces linguistiques s’organisent et s’affirment.

Cette nouvelle donne remet en cause l’idée même du monopole d’une langue unique dans la communication mondiale. Les grandes langues internationales qui se maintiendront ou qui surgiront ne le devront pas au simple fait du hasard. Elles le devront en grande partie à la manière dont seront exploités les atouts dont chacune dispose.  

Émergente, cette configuration culturelle et linguistique globale est une chance pour l’avenir mondial du français, langue qui dispose de larges atouts.

1. Par l’Histoire : au fil des siècles, la langue française s’est illustrée en portant très loin les outils critiques d’une pensée libre et singulière et les progrès des sciences. Elle a exprimé les grands principes des Lumières et les a offerts au monde. Successivement, elle a été l’instrument de l’émancipation sociale, du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes et de l’émergence d’institutions pour la communauté des nations.

2. Par son universalité : la langue française est utilisée sur toute la planète par de très nombreuses nations à l’intérieur d‘elles-mêmes comme dans leurs rapports avec le monde, ainsi que dans les activités scientifiques et technologiques les plus avancées, de la génétique moléculaire à la conquête spatiale.

3. Par son statut de langue de travail et de langue officielle du système des Nations unies et de nombreuses organisations internationales, continentales et régionales, et par le statut de la France de membre permanent du Conseil de sécurité de l’ONU.

4. Par la démographie : avec la perspective de plus d’un demi-milliard de locuteurs francophones pour le milieu du siècle, principalement grâce à l’Afrique, mais également à la France qui devrait devenir le pays le plus peuplé du continent européen après la Russie.

Ces atouts sont considérables. Ils constituent des leviers puissants pour que la langue française, dans le respect de la diversité des langues et des cultures des peuples qui composent l’espace francophone, continue à jouer le rôle qui est le sien depuis des siècles. Ces leviers, que d’autres nous envient, doivent être saisis avec détermination et constance.

En priorité, les décideurs des secteurs public et privé du monde francophone doivent quitter le modèle dominant qui a façonné leur existence au siècle dernier et ajuster leurs choix au monde multipolaire tel qu’il advient. La soumission, la démission et la résignation linguistiques constituent les véritables menaces pour l’avenir de notre langue.

Le « tout anglais » constitue une obsession d’un autre temps et d’un autre monde. Il est une impasse d’où il faut au plus vite sortir dans l’intérêt des peuples ayant le français en partage. Notre confiance en l’avenir de la langue française n’est pas naïve. Elle appelle une vigoureuse politique d’affirmation linguistique. Cette politique doit comprendre notamment :

1. L’application stricte des législations linguistiques nationales quotidiennement bafouées par les intérêts particuliers et le conformisme ambiant, aussi bien dans les secteurs public que privé, notamment pour le français langue du travail.

2. La diversification de l’enseignement des langues étrangères et des filières bilingues vers plusieurs grandes langues dont celles des pays émergents (arabe, chinois, espagnol, portugais).

3. L’exigence de la publication en français, et dans d’autres langues si nécessaire, de tous les travaux issus de la recherche médicale et scientifique publique dans l’ensemble des pays francophones.

4. La circulation facilitée pour les étudiants, les écrivains et les artistes, ainsi que les chercheurs de l’espace francophone tant il est évident qu’il n’y a pas de francophonie si les francophones sont interdits de circulation dans cet espace.

5. Un appui massif à la numérisation des patrimoines anciens et vivants de l’ensemble des pays francophones afin d’assurer la présence du français et des langues partenaires dans l’espace virtuel devenu un lieu essentiel de communication, de mobilisation et de rassemblement.

6. Le renforcement de la recherche sur les systèmes de traduction automatique et leurs implications industrielles, afin d’assurer la présence du français parmi les grandes langues pivots qui s’imposeront dans l’intercommunication planétaire.

7. La priorité d’une politique bilatérale et multilatérale, forte et pérenne, en direction de l’Afrique francophone pour le développement optimal de son système éducatif.

8. L’utilisation de la langue française par les représentants des pays francophones dans les organisations continentales et internationales.

Il ne s’agit pas pour le monde francophone de se dresser contre la langue anglaise ou contre toute autre langue. Il s’agit d’ouvrir nos yeux sur la réalité nouvelle, et de mettre en œuvre, dans le contexte de la mondialisation multipolaire, une stratégie offensive pour la langue française, qui assurera son avenir en valorisant ses nombreux atouts. Nous appelons les citoyens des pays francophones à exercer leur vigilance individuelle et à développer leur mobilisation collective pour que soit respecté l’usage de notre langue mondiale en partage. Nous appelons fermement nos gouvernements à réviser leur politique et leur pratique linguistiques, à abandonner les discours de circonstance sur la francophonie et à relever le défi de l’affirmation déterminée de la langue française dans la polyphonie du nouveau monde.

 

Parmi les signataires (plus de 1500 signatures recueillies en septembre 2012) :

Edem Awumey, écrivain ; Mimi Barthélémy, conteuse ; Louise Beaudoin, députée de Rosemont Québec ; Karim Beyekhlef, directeur, centre de recherche en droit public, université de Montréal ; Marie-Roger Biloa, directrice du mensuel Africa international , Daniel Boyer, secrétaire général de la Fédération des travailleurs du Québec ; Jean Charbonnel, ancien minsitre, France ; Malek Chebel, philosophe ; Fernand Daoust, ancien président de la Fédération des travailleurs du Québec ; Pierre Demers, président de la LISULF, Québec , Pape Diouf, ancien président de l’Olympique de Marseille, Sénégal et France ; Bernard Dorin, Ambassadeur de France, président de France-Haïti ; Denys Ferrando-Durfort, président Le français en partage, France ; Jean-Sébastien Dupuit, ancien président du Centre national du livre ; Gabrielle Durana, chroniqueuse économique ; Charles Durand, professeur, ancien directeur de l’institut francophone d’informatique à Hanoï, France ; Dominique Gallet, producteur du magazine télévisé Espace francophone, France ; Yasmine Ghata, écrivain ; Monique Giroux, animatrice, Radio-Canada ; Paula Jacques, écrivain et journaliste , Marie-France Kenny, présidente, Fédération des communautés francophones et acadienne du Canada ; Vénus Khoury-Ghata, écrivain, Liban et France ; Rachid Koraïchi, plasticien  ; Antonine Maillet, écrivain, Acadie ; Mona Makki, rédactrice en chef du magazine télévisé Espace francophone ; Charles ; Étienne Lagasse, inspecteur général à Wallonie-Bruxelles International, vice-président d'Eunic-Bruxelles, professeur de droit public belge et européen  ; Philippe Lorin, illustrateur Jean-Tabi Manga, recteur, Université de Yaoundé, Cameroun  ; Luc Martin-Chauffier, syndicaliste, France ; Yves Michaud, ancien député, et Délégué général du Québec en France, Québec ; Mariette Mulaire, présidente, Agence nationale et internationale du Manitoba ; Jean-Benoît Nadeau, écrivain, Québec ; Dominique Noguez, écrivain, France ; Gilles Rhéaume, Professeur de philosophie, journaliste, Québec ; Zachary Richard, auteur, compositeur, interprète ; Jean-Louis Roy, historien, écrivain, diplomate, responsable de l’Observatoire mondial des droits de l’Homme, Canada ; Philippe de Saint Robert, écrivain, ancien Haut Commissaire à la langue française ; Alimata Salembere, ancienne directrice de la culture, Agence internationale de la Francophonie, Burkina Faso ; Amadou Lamine Sall, poète , Sénégal ; Albert Salon, ancien Ambassadeur, France ; Claire Simard, ancienne directrice du Musée de la civilisation, Québec ; Monique Simard, directrice générale du programme français, Office national du film,  du Canada ; Gilbert Sinoué, écrivain ; Gérard Sournia, géographe, France.

 

 

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Appel aux Maires

 

 

Pour la défense et la promotion de la langue française et de la Francophonie, 32 associations françaises (et 8 associations belges, québécoises…) tentent depuis plus de vingt ans d’amener nos dirigeants et médias à refuser l’anglo-américanisation voulue par une oligarchie financière internationale, apatride.

Elles se heurtent à la difficulté de faire respecter chez nous la volonté populaire, vox populi pourtant exprimée avec clarté et force dans tous les sondages, qui tient à maintenir la langue de la République en France et dans le monde, contre le globish-pour-tous.

Dans l’impossibilité d’obtenir l’organisation d’un referendum sur cette question vitale, nos associations veulent que le peuple puisse s’exprimer par ses collectivités publiques de base.

Elles proposent donc à de nombreux conseils municipaux d’adopter le manifeste joint, participant ainsi au mouvement informel « Communes de France pour la langue française ». Ce mouvement s'étend aussi aux pays de langue maternelle française en une large protestation Contre la pensée unique (Pr. Claude Hagège), et contre la « langue unique » qui la porte, pour conforter la diversité linguistique mondiale et la place légitime du français.

Elles souhaitent pouvoir présenter, à l’automne 2014, un grand bouquet de ces votes, représentatif des diversités géographique, politique, culturelle et linguistique de la France. Pour constituer alors un équivalent à un referendum d’initiative populaire pour le français.

Le manifeste qu’il vous est proposé de soumettre, tel quel ou adapté* par vous, à l’adoption formelle de votre Conseil municipal, est un engagement concret pour cette cause populaire. Il a déjà été adopté par des conseils municipaux de diverses régions de France (liste jointe).

Nous vous prions de bien vouloir faire parvenir l’éventuelle délibération du Conseil de votre Commune par la poste à Avenir de la langue française, 34 bis, rue de Picpus, 75012, Paris, tél. : 01 43 40 16 51, et par courriel à : avenirlf@laposte.net, et – à votre gré – à la presse locale.

Les associations se chargent de la médiatisation nationale des votes favorables obtenus.

Elles vous proposent aussi l’ouverture internationale francophone de coopération et de solidarité entre communes, permise par notre nouveau site « Nous votons pour le français », sur lequel nous vous invitons à vous présenter, selon les indications de la page suivante.

Veuillez agréer, Madame, Monsieur, le Maire, l’expression de toute notre considération.

 

Appel signé, et Manifeste présenté, par Albert Salon, docteur d’État ès lettres, ancien ambassadeur, commandeur du Mérite, président d’Avenir de la langue française (ALF).

Site : www.avenir-langue-francaise.fr

 

*adapté au caractère propre de votre commune, p. ex. à l’affirmation légitime d’une langue locale. Vous pouvez ainsi ajouter au manifeste à voter par votre Conseil le paragraphe suivant :

« Le Conseil....tient à affirmer que son attachement au français, langue de la République selon l'article 2 de la Constitution française, qui est aussi refus de le voir remplacer par une langue étrangère, n'est pas incompatible - au contraire - avec son attachement à sa langue régionale, le....., qui fait partie du patrimoine de la Nation selon l'article 75-1 de ladite Constitution. » 

 

 

 

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MANIFESTE POUR LA LANGUE FRANÇAISE EN FRANCE* 

(juin 2013)

 

 

Après nous avoir imposé l’anglais dans la publicité, dans le transport aérien, dans les revues scientifiques, dans le fonctionnement des grandes entreprises, des dirigeants de ce pays, à gauche comme à droite, veulent nous l’imposer comme langue d’enseignement à l’université, et marginaliser le français.

Depuis longtemps déjà, de son côté, une oligarchie vassale-bobo de la finance et de ses médias humilie la France profonde en l’inondant de mots étrangers qui ne s’adressent pas à elle. Alors que :

« La langue de la République est le français » !

C’est depuis 1992 dans la Constitution (article 2). La loi Toubon, votée en 1994, en a détaillé les applications concrètes.

Ainsi pour toute l’Éducation nationale, en une phrase pourtant bien claire : « Le français est la langue de l’enseignement, des examens et des concours ».

Or, voilà que nous apprenons avec consternation que le Parlement a voté une loi qui, sous le prétexte d‘attirer plus d’étudiants de pays non francophones, introduit l’usage de l’anglais non plus comme langue enseignée, mais comme langue d’enseignement à l’université : le « tout-à-l’anglais-pour-tous » !

La commune de …………………tient à manifester son indignation et son opposition ferme au passage au tout-à-l’anglais chez nous.

Elle se joint aux municipalités qui ont déjà adopté un manifeste « Communes de France pour la langue française », mouvement lancé par Avenir de la langue française et 31 autres associations du pays de La Fontaine, de Molière, et de Pasteur, de Marie Noël et de Colette.

Elle demande notamment l’abrogation de l’article 2 de la loi Fioraso.

Le français doit redevenir ce qu’il n’aurait jamais dû cesser d’être : la langue de tous les Français et des pays et personnes qui ont voulu l’adopter, et qui y tiennent comme nous.

 

*Manifeste présenté par Albert Salon, docteur d’Etat ès lettres, ancien ambassadeur, commandeur dans l’Ordre national du Mérite, président d’Avenir de la langue française (ALF), aussi au nom des 31 autres associations de France qui militent pour la langue française et la Francophonie.

site : www.avenir-langue-francaise.fr

 

 

 

Suggestion de lettre à envoyer

aux élus municipaux :

 

  .............., le ............ 2013

De .................

 

À ....................

Objet : Pour la défense et la promotion de la langue française et de la Francophonie

 

 

Monsieur (Madame) le Maire,

 

Pour la défense et la promotion de la langue française et de la Francophonie, 40 associations de raisons sociales voisines (cf. le site : www.avenir-langue-francaise.fr ) tentent depuis 20 ans d’amener nos dirigeants et médias à cesser de consentir à l’anglo-américanisation voulue par des forces financières internationales très puissantes, contre lesquelles le nouveau Président de la République s’est élevé.

Les 40 associations constatent l'inanité de leurs efforts pour franchir le barrage de médias acquis pour la plupart à l’idéologie dominante, et pour faire entendre et respecter la volonté populaire, attestée par toutes les enquêtes d’opinion, de maintenir, sans préjudice de nos langues régionales, le rôle du français en France et dans le monde.

Dans l’impossibilité d’obtenir l’organisation d’un referendum sur cette question vitale pour la France comme pour toutes les communautés francophones, nos associations ont lancé une campagne de sensibilisation des collectivités publiques de base en France et ailleurs.

Elles proposent à de nombreux conseils municipaux d’adopter le manifeste joint, participant ainsi à un mouvement informel « Communes de France pour la langue française ». Mouvement qui pourra s'étendre à d’autres pays francophones en une large protestation Contre la pensée unique (Pr. Claude Hagège), et contre la « langue unique » qui la porte, pour conforter partout la diversité linguistique et la place légitime du français .

La première  délibération forte en ce sens, par adoption d’un manifeste complet, a été prise le 3 juillet 2012 par le Conseil de Grigny (Rhône). Le mouvement, étendu à la France et au-delà, constituera alors un substitut au referendum d’initiative populaire hélas hors de portée.

Le manifeste qu’il vous est proposé de soumettre à l’adoption formelle de votre Conseil municipal est soutenu par 40 associations pour le français. Rédigé par M. Dominique Gallet, réalisateur de programmes francophones pour la télévision, et par M. Jean-Louis Roy, Québécois qui fut Délégué général du Québec en France et Secrétaire Général de l’ACCT (devenue Organisation internationale d la Francophonie – OIF), il a déjà recueilli plus de 1500 signatures de personnalités de divers pays francophones.

La présentation originale de ses propositions concrètes se trouve sur le site :

http://www.francophonesdumonde.org/?cdpetitions_limitstart=1100#cdpetitions-signatures

Il vous est loisible de le proposer à l’adoption soit tel quel, soit en en tirant des propositions constructives plus adaptées aux préoccupations de votre Conseil.

Lorsque vous aurez obtenu un vote favorable du Conseil de votre Commune, les 40 associations vous seront reconnaissantes de bien vouloir faire parvenir le texte de la délibération par courrier à Avenir de la langue française, 34 bis, rue de Picpus, 75012, Paris, tel 01 43 40 16 51, et par courriel : avenirlf@laposte.net, après en avoir informé Préfecture et presse locale. Les associations pourront s’occuper de la médiatisation nationale.

Elles attendent votre réponse avec le plus vif intérêt.

Veuillez agréer, Monsieur (Madame) le Maire, l’expression de notre gratitude et de toute notre considération..

 

Votre nom et signature

 

 

 

 

 

 

 

 

Un site pour la Solidarité mondiale des Communes francophones :

 www.nousvotonspourlefrançais.com

 

 

Deux sites associatifs français très fréquentés :

www.avenir-langue-francaise.fr ,

et http://dakerscocode.blogspot.com ,

 présentent ensemble leur site satellite : www.nousvotonspourlefrançais.com .

 

Support au développement de notre campagne de 2013-2014, « Communes pour la langue française », ce nouveau site de la solidarité mondiale des communes francophones est destiné à établir tous liens humains et matériels de solidarité et de coopération sur tous les continents entre toutes les communes de langue maternelle française qui se sont engagées dans cette campagne en votant le manifeste joint.

Ce site des communes qui « votent pour le français » est un support de coopération internationale décentralisée. Ainsi complémentaire du site www.aimf.asso.fr  de l’Association internationale des maires et responsables des capitales et métropoles des pays où le français est langue officielle (AIMF), opérateur officiel de l’Organisation internationale de la Francophonie (O.I.F.), comme l’est aussi l’Association internationale des Régions francophones (AIRF). La solidarité des Communes contribuera ainsi à promouvoir une Francophonie de proximité, plus populaire, plus fraternelle, donc plus vivante et plus forte.

Ce site offre à toute commune ayant voté le manifeste la possibilité de se faire connaître dans tout le monde francophone, et même au-delà, en se présentant elle-même sur ce site, avec son histoire, son patrimoine, ses hommes et femmes illustres, ses atouts et attraits culturels, touristiques, et économiques, les manifestations qu'elle organise...

Le site ouvre ainsi - en français – les mêmes fécondes perspectives qu’offre le réseau de l’AIMF aux capitales et métropoles francophones. Perspectives de jumelages bi ou multilatéraux, d’échanges de personnes, de solidarités, de coopérations de toute nature entre les « simples » communes francophones qui le souhaiteront.

Nous invitons donc les maires et élus de communes non capitales et non métropoles de France, et des autres pays de la Francité (pays de langue maternelle française), à affirmer leur langue française dans le cadre de notre Campagne, et à se présenter sur notre site pour bénéficier de l’ouverture internationale spécifique, francophone et privilégiée, ainsi offerte.

Nous vous prions de bien vouloir faire parvenir la fiche de présentation de votre Commune, éventuellement accompagnée de photos numérisées et transférables, par courriel à : avenirlf@laposte.net association coordonnatrice de la campagne : Avenir de la langue française, 34 bis, rue de Picpus, 75012, Paris, tel 01 43 40 16 51.

Veuillez, Madame (Monsieur) le Maire, agréer l’expression de toute notre considération et de nos souhaits de bienvenue dans le mouvement ainsi lancé.

Albert Salon, docteur d’Etat ès lettres, ancien ambassadeur, commandeur du Mérite, président d’Avenir de la langue française (ALF).

 

 

 

 

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Liste des votes obtenus.

Faites entrer votre ville !

 

I)  FRANCE :

AUSSAC-VADALLE (Charente), 400 habitants ;

CHABLIS (Yonne), 2 500 habitants ;

CHAMPROUGIER (Jura), 94 habitants ;

CHARMES la GRANDE (Haute Marne), 170 habitants ;

DONNERY (Loiret), 2 500 habitants ;

GRIGNY (Rhône), 9 000 habitants ;

LARGNY-SUR-AUTOMNE (Aisne), 250 habitants ;

MAISONS-LAFFITTE (Yvelines), 23 000 habitants ;

MONTFERMEIL (Seine-Saint-Denis), 25 000 habitants ;

MOULINS-EN-TONNERROIS (Yonne), 170 habitants ;

NOTRE-DAME D’OE (Indre et Loire), 3 846 habitants ;

PARIS : Ve arrondissement : M. Tibéri : promesse ferme en attente de réalisation ;

PARNAY (Maine-et-Loire), 500 habitants ;

SAINTE MAURE DE TOURAINE (Indre et Loire), 4 096 habitants ;

TOCQUEVILLE-les-MURS (Seine Maritime), 300 habitants ;

UCHAUX (Vaucluse), 1 386 habitants ;

VERDUN (Meuse), 21 000 habitants ;

VILLEJOUBERT (Charente), 340 habitants ;

VINCELLES (Yonne), 1 075 habitants ;

 

Il faut noter par ailleurs que PARIS-capitale et les villes ci-après désignées font partie du réseau de solidarité et de coopération constitué par l’Association des Maires des capitales et métropoles  francophones (AIMF), opérateur officiel de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) :

ANGOULÊME, BORDEAUX, LE HAVRE, LILLE, MARSEILLE, GRAND-NANCY, NANTES, NICE, POITIERS, STRASBOURG, TOURS.

 

 

II)  BELGIQUE :

ANS (province de Liège) 27 750 habitants ;

 

Il faut noter par ailleurs que BRUXELLES-capitale et les villes ci-après désignées font partie du réseau de solidarité et de coopération constitué par l’Association des Maires des capitales et métropoles  francophones (AIMF) :

LIÈGE, MONS, NAMUR.

 

 

III)  CANADA-ACADIE :

 

Il faut noter que l’Association francophone des municipalités du Nouveau-Brunswick et la Fédération des municipalités canadiennes font partie du réseau de solidarité et de coopération constitué par l’Association des Maires des capitales et métropoles  francophones (AIMF).

 

 

IV)  LUXEMBOURG :

 

Il faut noter que LUXEMBOURG-capitale fait partie du réseau de solidarité et de coopération constitué par l’Association des Maires des capitales et métropoles  francophones (AIMF).

 

V) MONACO :

 

Il faut noter que MONACO-capitale fait partie du réseau de solidarité et de coopération constitué par l’Association des Maires des capitales et métropoles  francophones (AIMF).

 

 

VI)  QUÉBEC :

 

 Il faut noter que QUEBEC-capitale et les villes ci-après désignées font partie du réseau de solidarité et de coopération constitué par l’Association des Maires des capitales et métropoles  francophones (AIMF) :

GATINEAU, LÉVIS, MONTRÉAL, SAGUENAY, SHERBROOKE, TROIS-RIVIÈRES, Union des municipalités du Québec.

 

 

VII) SUISSE (ROMANDIE et JURA) :

 

Il faut noter que les villes ci-après désignées font partie du réseau de solidarité et de coopération constitué par l’Association des Maires des capitales et métropoles  francophones (AIMF) :

GENÈVE, LAUSANNE, NYON, VERNIER.

 

 

 

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