Sujet :

En marge du 12e Sommet de la Francophonie à Québec

Date :

16/10/2008

De Gaston Laurion (courriel : glaurion(chez)pubnix.net)  

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SOMMET DE LA FRANCOPHONIE
 

 

Le porte-parole de la LQCFC, Gilles Rhéaume. Photo : Archives

 

La LQCFC (Ligue québécoise contre la francophobie canadienne) informe les participants au Sommet de Québec sur la francophobie canadienne y compris dans l'organisation de ces assises.
 

Le porte-parole de la LQCFC, Gilles Rhéaume, fera parvenir dans les prochaines heures à tous les pays, États, gouvernements et Régions participant au Sommet de la Francophonie qui se tiendra à Québec dans les prochains jours, un document invitant la francophonie mondiale à la plus haute méfiance envers le Canada quand il s'agit de la défense et l'illustration de la langue française.  La politique francophobe du  gouvernement actuel du Canada sera aussi dénoncée dans cette missive...

« L'histoire canadienne est traversée par une francophobie historique et caractérisée, selon le porte-parole qui continue en soutenant que le scandale hautement provocateur des policiers de la GRC (Gendarmerie Royale du Canada)  unilingues anglais pour veiller à la sécurité de cette rencontre internationale tenue en territoire québécois n'est qu'une des nombreuses démonstrations de cette francophobie systémique d'un Canada qui refuse même d'appliquer au Québec, dans ses sphères de compétence, la Charte  de la langue française, pourtant  la loi la plus populaire de toute notre histoire parlementaire  et dont s'inspire depuis 30 ans de nombreux peuples de la terre voulant assurer la pérennité de leur langue sur leur territoire.  La francophobie est un des visages du racisme au Canada ».

« Il n'existe même pas de version officielle en français de la Constitution canadienne et de surcroît cette loi fondamentale est génératrice d'obstacles juridiques à la refrancisation du Québec », termine Gilles Rhéaume qui estime que « Les pays de la Francophonie doivent connaître la nature et la portée de la fraude canadienne en matière de francophonie et de soutien à la langue de Molière et de Félix Leclerc.  Le Canada doit se travestir pour participer au Sommet de la Francophonie.  C'est de la fausse représentation et la communauté francophone internationale a le droit de le savoir ! ».

 

 

 

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