Sujet :

Au Québec, les anglophones n'ont pas à se plaindre

Date :

01/03/2014

De Jean-Paul Perreault (Imperatif(chez)imperatif-francais.org)

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Les anglophones n'ont pas à se plaindre, dit J-P Perreault

Le président d'Impératif français, Jean-Paul Perrreault, a réagi au sondage de CBC qui a révélé qu'au cours de la dernière année, la moitié (51%) des anglophones et des allophones ont envisagé de quitter le Québec.

Jean-Paul Perreault (Québec)

 

Jean-Paul Perreault  (© Patrick Voyer)

 

Jean-Paul Perreault estime que ce sondage ne traduit aucunement les migrations de populations québécoises.

« Le Québec accueille bon an mal an 50 000 immigrants, alors si c'était si triste vivre au Québec, comment ça se fait qu'ils choisissent le Québec ? Sur 10 ans, on parle d'un demi-million, concentré surtout à Montréal à 90%. »

Si les mouvements migratoires ne sont pas représentés dans ce sondage, ceux de l'Outaouais le sont encore moins, selon M. Perreault.

« Si c'est si difficile de vivre au Québec, comment ça se fait que plusieurs Ontariens viennent y vivre pour tirer avantage des garderies et du prix des propriétés deux fois moins cher, pour envoyer leurs enfants dans les universités au tiers des frais et profiter des espaces verts ? Un grand nombre viennent y vivre parce qu'ils trouvent ça extraordinaire, mais plusieurs le font en nous volant et paient leurs impôts en Ontario*. »

Il enchaîne: « Dites-leur de déménager à Toronto, à Vancouver ou à Calgary s'ils ne sont pas contents et bonne chance! Ici, il leur reste de l'argent pour avoir un minimum de qualité de vie, pour sortir au restaurant ou aller voir un spectacle. Là-bas, il leur en manquerait pour les besoins de base.»

Une stratégie politique

Pour M. Perreault, il est clair que les médias anglophones se positionnent encore contre la Charte de la laïcité, à la veille d'une annonce possible d'élections.

« C'est un sondage qui cadre bien avec toute l'opération salissage qu'on a observée quand on a voulu modifier la charte, surtout par les médias anglophones. Et ça arrive en période préélectorale, alors ça dégage une odeur politicienne déplaisante. »

« Je trouve ça dégueulasse, c'est le mot, "dégueulasse", poursuit-il. C'est une manœuvre facile de sondage de perceptions. C'est déplorable. Même les anglophones qui vivent au Québec doivent être déçus d'être utilisés ainsi. »

 

Source : info07.com, le mercredi 26 février 2014

Possibilité de réagir sur :

http://www.info07.com/Actualites/2014-02-26/article-3628383/Les-anglophones-nont-pas-a-se-plaindre%2c-dit-J-P-Perreault/1

 

 

 

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Vous songez à quitter le Québec, dites-vous ?

Québec, je reste !Au référendum de 1995, ils criaient, hurlaient dans les rues de Montréal "We love you !"

Aujourd’hui ils crient "We don’t love you !" ? Ils ne nous aimeraient plus ou beaucoup moins s’il faut en croire le « sondage mené pour le compte de CBC par la firme EKOS (qui) révèle que 51 % des anglophones et 49 % des allophones vivant au Québec ont songé à quitter le Québec au cours de la dernière année. »

Faisons preuve de grandeur ! L’amour, c’est savoir laisser partir ceux et celles qui vous aiment ou ceux et celles qui ne vous aiment plus ou pas. Il faut faire preuve d’amour et ainsi savoir respecter ce droit de quitter, de déménager. Il s’agit après tout d’une liberté fondamentale. Nous ne sommes pas un pays totalitaire !

Quant à l’ensemble du Québec, soyons-en fiers ! Le Québec demeure une destination privilégiée de l’émigration internationale, une terre d’accueil « choisie » puisqu’il accueille, bon an mal an, environ 50 000 immigrants, soit près d’un million sur une période de vingt ans.  Quant au bilan des migrations interprovinciales, il serait nul.

L’attrait du Québec pour la diversité est tellement prononcé qu’à Montréal, plus de 50 % de la population n’y est pas de langue maternelle française.

Pas de doute, les résultats de ce sondage s’expliquent par les opérations de salissage répétées des médias et des groupes et leaders anglophones, d’ici et d’ailleurs, qui pratiquent la francophobie et le québécophobie à grande échelle.

L’attrait qu’exerce le Québec sur les Ontariens dans la région de l’Outaouais ne fait aucun doute. Un très grand nombre d’Ontariens viennent y élire résidence pour profiter du coût immobilier beaucoup moins élevé, des garderies à 7 $ par jour… mais sans toutefois y payer leurs impôts. Ils nous volent tout en imposant souvent leur unilinguisme anglais partout.  Ce phénomène de trafic identitaire, de corruption et de fraude fiscale est tellement répandu et reconnaissable par les plaques d’immatriculation "Yours to discover"* de leurs automobiles qui dorment tous les soirs dans les entrées de cours du Québec !

 Vous songez à quitter le Québec, dites-vous ?

 

Source : imperatif-francais.org, le vendredi 28 février 2014

http://www.imperatif-francais.org/s1-articles/c116-2013/vous-songez-a-quitter-le-quebec-dites-vous/

 

 

 

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* Fraude et corruption ontariennes : le trafic du lieu de résidence...

Plaque d'immatriculation de l'OntarioLa corruption… « un mal qui répand la terreur, un mal que le ciel en sa fureur inventa pour punir… » (Jean de La Fontaine) les honnêtes gens !

En peu de temps, les enquêteurs fédéraux auraient débusqué les sénateurs Patrick Brazeau et Marc Harb, accusés de fraude de dizaines de milliers de dollars annuellement, pour trafic de leur lieu de résidence.

Les enquêteurs fédéraux auraient réussi à faire à l’endroit du trafic du lieu de résidence ce que le gouvernement du Québec, Revenu Québec, la Sûreté du Québec, les sécurités publiques et les administrations municipales et les élus de tous les niveaux gouvernementaux refusent de faire, ou si peu, à l’endroit des fraudeurs et braconniers fiscaux ontariens qui bien que résidant au Québec trafiquent leur identité pour payer leurs impôts en Ontario.

Ce sont très souvent ces Ontariens qui exigent, à nos frais, l’anglicisation des établissements publics québécois pour accommoder leur refus d’apprendre le français.

Nous les reconnaissons très aisément par leurs automobiles immatriculées en Ontario "Yours to discover" qui dorment tous les soirs dans les stationnements ou entrées de cour du Québec. Qui n’en connaît pas ? Qui n’en voit pas ? Voisins ? Collègues ? "Yours to discover !" : une visite à Chelsea, Wakefield, Aylmer, Le Plateau, les municipalités du Pontiac…

Nous payons des impôts et des taxes pour que les autorités mettent fin à ce scandale, à cette fraude. Nous en payons d’ailleurs déjà beaucoup trop, puisque nous payons ceux de ces nombreux fraudeurs. Et ce n’est pas de la petite gomme ! Nous parlons ici de plusieurs millions de dollars chaque année !

Cette corruption pratiquée à grande échelle avec la complicité des autorités constitue une honte pour tous. Pourtant ailleurs, on s’apprête à accuser des sénateurs pour fraude reposant sur un trafic du lieu de résidence.

 

Source : imperatif-francais.org, le jeudi 13 février 2014

http://www.imperatif-francais.org/s1-articles/c116-2013/fraude-et-corruption-ontariennes-le-trafic-du-lieu-de-residence/

 

 

 

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Source :

Impératif français

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Tél. : 819 684-8460 - Téléc. : 819 684-5902

 

 

 

 

 

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