Trop d'humains sur terre et, somme toute, trop
de langues et de cultures !
« Il y a 6000 langues parlées dans le monde, 5
999 de trop, l’anglais suffira.
»
Faite par un sénateur étatsunien à Hervé Lavenir
de Buffon (réf. «
Le Figaro Magazine
» du
22 juin 2002), cette réflexion traduit bien le mépris des
différences de ceux qui veulent imposer leur façon de voir le
monde et décider de son sort.
Hervé Lavenir de Buffon
affirme par ailleurs avoir pris connaissance d’un rapport de la
CIA qui, en 1997, laissait cinq ans aux États-Unis pour imposer
leur langue comme seul idiome international «
Sinon -
selon la CIA-, les
réactions qui se développent dans le monde rendront l’affaire
impossible.
»
Alors que
l'on sait que ces mêmes élites imposent au monde entier
la langue et la pensée unique à travers leurs clubs préférés :
le FMI, l’OMC, l'UE, Bilderberg, la Trilatérale, le Siècle, la
Round Table, Davos, Goldman Sachs, Morgan, Moody’s, le CFR, le
RIIA, la FAF, etc., voilà maintenant qu'ils trouvent que les
humains sur terre sont trop nombreux, comme les
langues et les cultures !
Inquiétant,
tout cela.
JPC
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Ces « élites » qui
considèrent que les humains sont une plaie sur terre
Par
zitouni MetaTV
Beaucoup
de gens refusent de le croire, mais les personnes les plus
influentes du monde et leurs proches, ceux qui pourraient être
considérés comme l'élite mondiale et leurs assistants, sont
convaincus que la surpopulation est la cause principale des
problèmes du monde.
Ils croient réellement que les
humains sont un fléau sur la terre et si rien
n'est fait pour limiter l'explosion démographique, nous devront
faire face à davantage pauvreté, de guerres et de souffrance
dans le futur sur une planète en désolation et sale.
Tout ce qui réduit la population
humaine est considéré comme positif pour les adeptes de cette
philosophie. Voici quelques citations de différents personnages
qui considèrent ouvertement qu'il est nécessaire de sacrifier
une grande partie de l'humanité ...
John
P. Holdren, conseiller scientifique de Barack Obama :
«
Un programme de stérilisation des femmes après leur deuxième ou
troisième enfant, même si cela s'avère plus difficile que
l'opération de
vasectomie, pourrait être plus facile à mettre en
œuvre que d'essayer de stériliser les hommes.
Le développement d'une capsule de
stérilisation à long terme pouvant être implantée sous la peau
et être retirée lorsque la grossesse est désirée ouvre des
possibilités supplémentaires pour le contrôle coercitif de la
fertilité. La capsule pourrait être implantée à la puberté et
être amovible, avec une permission officielle, pour un nombre
limité de naissances ».
·
Ezekiel Emanuel, ancien conseiller de santé du président Obama
et l'un des architectes du projet de santé publique Obamacare :
«
La société serait bien mieux si les gens ne cherchaient pas à
vivre au-delà de 75 ans ».
« La société et les familles seraient mieux si la nature suivait
son cours rapidement et avec promptitude ».
« C'est inefficace de gaspiller des ressources médicales pour
des personnes qui ne peuvent pas avoir une bonne qualité de vie
».
· Sir David Attenborough, présentateur de
télévision au Royaume-Uni :
« Nous sommes un fléau sur la terre. C'est clairement quelque
chose que nous allons voir au cours des 50 prochaines années. Ce
n'est pas simplement une question de changement climatique
; c'est une question d'espace, de trouver des endroits pour
produire de la nourriture pour cette foule immense. Soit nous
limitons la croissance de notre population soit la nature le
fera pour nous ».
·
Paul Ehrlich, ancien conseiller scientifique du président George
W. Bush et auteur de "The Population Bomb" :
« À notre avis, la solution fondamentale est de réduire
l'ampleur des activités humaines, y compris la taille de la
population, le maintien de sa capacité à consommer des
ressources dans la capacité de charge de la Terre ».
«
Personne, à mon avis, n'a le droit d'avoir 12 enfants, ou même
trois, à moins que la deuxième grossesse soit des jumeaux ».
·
Ted Turner, fondateur de CNN :
« Une population mondiale totale comprise entre 250 et 300
millions de personnes, soit une baisse de 95% par rapport aux
niveaux actuels, serait idéal ».
Autre déclaration
de ce membre du Bilderberg :
http://youtu.be/8wm03JAwTRY
(en cas de rupture de lien :
http://youtu.be/68IYDYvx7DQ)
·
Vice-Premier Ministre du Japon, Taro Aso (en
parlant des patients atteints de maladies graves) :
«
On ne peut bien dormir lorsque l'on sait que tout est payé par
le gouvernement. Ceci ne sera pas résolu tant qu'ils ne se
hâtent pas de mourir ».
· David Rockefeller :
«
L'impact négatif de la croissance démographique sur l'ensemble
de nos écosystèmes planétaires est en train de devenir quelque
chose de terriblement évident ».
Rockefeller
et son programme de dépopulation au CFR... :
http://youtu.be/4WaVltHN4d4
(en cas de rupture de lien :
http://youtu.be/OM8bmqi35Yo)
·
Roger Martin, un militant écologiste :
«
Sur une planète finie, la population optimale fournissant une
meilleure qualité de vie pour tous, est nettement inférieure au
nombre maximal que permet la simple survie. Plus nous sommes
nombreux, moins il y a de ressources pour chacun, moins de gens
permet de bénéficier d'une vie meilleure ».
· Bill Maher, animateur de HBO :
« Je suis en faveur de l'avortement, je suis en faveur du
suicide assisté, je favorise le suicide régulier ... Trop de
gens, la planète est trop encombré et nous devons promouvoir la
mort ».
·
Penny Chisholm, professeur au MIT (Massachusetts
Institute of Technology) :
«
Le vrai défi est d'essayer de stabiliser la population en
dessous de 9 milliards, faire en sorte que le taux de natalité
dans les pays en développement diminuent aussi vite que
possible. Cela permettra au nombre d'êtres humains sur la terre
de se stabiliser ».
· Philippe Cafaro, professeur à l'Université d'État du
Colorado :
« Mettre fin à la croissance de la population humaine est une
condition nécessaire (mais non suffisante) pour la prévention du
changement catastrophique du climat mondial. En fait, ce n'est
pas suffisant pour ralentir la croissance, mais il est
nécessaire de réduire de manière significative la population
actuelle pour y arriver ».
·
Éric R. Pianka · professeur de biologie à l'Université
du Texas :
«
Je n'ai rien contre les gens. Cependant, je suis convaincu que
le monde, y compris toute l'humanité, serait nettement mieux
sans beaucoup d'entre nous ».
· Margaret Sanger, fondatrice du Planning Familial
(organisation non gouvernementale associée à l' "International
Planned Parenthood
Federation") :
«
Tous nos problèmes sont le résultat d'un excès de reproduction
de la classe ouvrière ».
«
La chose la plus miséricordieuse qu'une grande famille peut
faire pour un de ses enfants, est de le tuer ».
·
Alberto Giubilini de l'Université Monash à Melbourne
et Francesca Minerva de l'Université de Melbourne, dans un
article publié dans le Journal of Medical Ethics :
« Nous croyons que lorsque des situations similaires à celles
justifiant l'avortement se produisent après la naissance,
on devrait autoriser ce que nous appelons "l'avortement
post-natal".
Nous proposons d'appeler l'avortement post-natal, au lieu de
l'appeler "infanticide", pour souligner que le statut moral de
l'individu tué est comparable à celle d'un fœtus ... au lieu de
le comparer à un enfant.
Donc dire que le meurtre d'un nouveau-né peut être éthiquement
acceptable dans les circonstances telles que celles d'un
avortement.
Ces circonstances comprennent les cas où le nouveau-né a le
potentiel d'avoir une vie décente, mais le bien-être de la
famille est en danger ».
· Nina Fedoroff, conseillère d'Hillary Clinton :
«
Nous devons continuer à réduire le taux de de croissance de la
population mondiale ; la planète ne peut supporter beaucoup plus
de gens ».
·
David Brower, premier directeur exécutif du Sierra
Club :
«
La grossesse devrait être un crime punissable contre la société,
à moins que les parents aient une licence du gouvernement.
Tous les parents potentiels devraient être tenus d'utiliser des
contraceptifs chimiques et des antidotes seraient donnés par le
gouvernement aux citoyens choisis pour procréer ».
· Thomas Ferguson, ancien fonctionnaire de l'Office du
Département d'État des Affaires de la population :
«
Nous devons réduire les niveaux de la population. Tous les
gouvernements peuvent le faire proprement, comme nous le faisons
(aux États-Unis), ou se résoudre à avoir le genre de problèmes
désastreux qu'ils y a dans des endroits comme El Salvador,
l'Iran ou Beyrouth.
La population est un problème politique. Une fois que la
population est hors de contrôle, il faut un gouvernement
autoritaire, même le fascisme, pour la réduire ... ».
·
Mikhaïl Gorbatchev :
«
Nous devons parler plus clairement sur la sexualité, la
contraception, l'avortement le, les questions de population
témoin, à cause de la crise écologique que nous vivons. Si nous
pouvons réduire la population de 90%, il n'y aura pas assez de
gens pour causer de graves dommages écologiques ».
· Jacques Cousteau :
«
Afin de stabiliser la population mondiale, nous devons éliminer
350 000 personnes par jour. C'est une chose horrible à dire,
mais il est tout aussi mauvais de ne pas le dire ».
·
Linkola Pentti, écologiste finlandais :
« Si je pouvais appuyer sur un bouton, je me sacrifierais sans
hésitation si cela signifiait que des millions de personnes
mourraient ».
· Le prince Philip, époux de la reine Elizabeth II et
co-fondateur du Fonds mondial pour la nature :
« Si je pouvais être réincarné, je voudrais revenir comme un
virus mortel, afin d'aider à résoudre la surpopulation ».
Croyez-vous encore que les plans de dépopulation massive des
élites sont le résultat de l'imagination de quatre personnes
paranoïaques ?
Il n'y a pire aveugle que celui qui ne veut pas voir ...
Références :
http://web.archive.org/web/20140628231507/http://thetruthwins.com/archives/30-population-control-quotes-that-show-that-the-elite-truly-believe-that-humans-are-a-plague-upon-the-earth
http://jme.bmj.com/content/early/2012/03/01/medethics-2011-100411.full
http://endoftheamericandream.com/archives/obamacare-architect-says-society-would-be-better-off-if-people-only-lived-to-age-75
http://www.theatlantic.com/features/archive/2014/09/why-i-hope-to-die-at-75/379329/
Source :
metatv.org, le dimanche 28 septembre 2014
http://metatv.org/ces-elites-qui-considerent-que-les-humains-sont-une-plaie-sur-terre
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Toujours dans le domaine de la mort, pour la
réflexion :
Et si le franglais était une nanolangue toxique
de l'anglais ?
Nanotoxiques : une enquête
Les produits
contenant des nanoparticules envahissent notre quotidien. Invisibles à
l'œil nu, ces nouvelles molécules de haute technologie laissent parfois
deviner leur présence par les accroches publicitaires : aliments aux «
saveurs inédites », « cosmétiques agissant plus en profondeur », «
sous-vêtements antibactériens », fours et réfrigérateurs «
autonettoyants », articles de sports « plus performants », et armes plus
destructrices...
Sans cesse,
les ingénieurs en recherche et développement inventent de nouvelles
applications des nanos qui sont commercialisées sans le moindre
contrôle, au mépris de la réglementation les obligeant à tester la
toxicité des substances avant de les vendre. Or, il s'avère que ces
nanoparticules sont souvent redoutables - elles sont si petites que
certaines peuvent traverser tous les organes, jouer avec notre ADN et
provoquer de nombreux dégâts. Grâce à son enquête aussi rigoureuse
qu'explosive, Roger Lenglet a retrouvé les principaux acteurs des
nanotechnologies. Il livre ici leurs secrets et les dessous de cette
opération menée à l'échelle planétaire qui, avec le pire cynisme,
continue de se déployer pour capter des profits mirobolants au détriment
de notre santé. Avec ce premier livre en français sur la toxicité des
nanoparticules, Roger Lenglet tente de prévenir un nouveau scandale
sanitaire d'une ampleur inimaginable. (4e de couverture)
Avec Roger Lenglet, philosophe et journaliste d'investigation auteur de
« Nanotoxiques : une enquête » (Actes Sud, 2014)
Émission « Terre à terre », de Ruth Stégassy, diffusée sur
France Culture, le samedi 4 octobre 2014
Source :
http://www.franceculture.fr/emission-terre-a-terre-les-nanotoxiques-2014-10-04
Introduction :
Les nanotechnologies
fascinent. Dans un premier temps, j’ai moi-même été
stupéfié par leurs prouesses : elles sont à l’origine de
matériaux aux propriétés extraordinaires, des produits
cent fois plus résistants que l’acier et six fois plus
légers, plus conducteurs ou plus isolants que tous ceux
connus à ce jour, plus résistants à la traction, au feu,
au froid ou à l’abrasion… Bref, elles paraissent
miraculeuses. Les nanotechnologies1 ont la particularité
d’estomper les frontières de la physique, de la chimie
et de la biologie. À travers elles, les sciences vont se
fondre en une seule, prédisent les ingénieurs. Ils nous
promettent un “big-bang” technico-scientifique. Mais
devant les choses fascinantes, il faut garder son
sang-froid.
J’ai entrepris cette
enquête pour savoir si oui ou non les nanos représentent
un danger pour le vivant. Il m’a semblé nécessaire
d’examiner d’abord l’histoire de cette course folle des
industriels pour laquelle les gouvernements ne voulaient
pas être en reste et de pénétrer dans les coulisses des
décisions. L’enjeu est financier, bien sûr, et nous
verrons combien il pèse, mais pas seulement. Chacun
cherche à devenir le leader de cette technologie de
pointe, et nous allons voir que le volet militaire y
joue un rôle considérable, à l’instar de ce qui a fait
la fortune du nucléaire.
Les nanotechnologies sont
entrées dans nos vies en catimini. Nous voilà devant le
fait accompli. Les nanomatériaux sont ajoutés dans de
nombreux aliments pour leur donner des saveurs et des
textures inédites, dans des cosmétiques pénétrant plus
en profondeur sous la peau, dans des textiles
“intelligents”, des produits de construction se moquant
des intempéries, des fours anéantissant les graisses,
des articles sportifs plus souples et plus résistants…
Les firmes pharmaceutiques les intègrent aussi de plus
en plus dans les pansements et promettent des
médicaments censés traverser toutes les barrières
organiques comme des vaisseaux intergalactiques pour
apporter leur précieux chargement dans les “cellules
cibles”.
Peu
d’entre nous savent qu’environ 2 000 applications
différentes sont déjà commercialisées. Séduits par le
marketing vantant les performances des produits, nous
ignorons qu’elles sont dues à la présence de
nanomatériaux. Encore rares en effet sont ceux qui ont
pris conscience de l’invasion de notre quotidien par les
nanotechnologies. L’étiquetage ne les signalait pas
encore en 2013, les groupes de pression industriels
arguant qu’ils n’étaient pas encore prêts et les
instances européennes accumulant les retards.
Dans cette situation, il
est devenu urgent de connaître les risques pour notre
santé. Pour y parvenir de façon sérieuse, il a fallu
enquêter, creuser, trouver des documents, remonter aux
sources vers des études peu divulguées, des rapports
d’assureurs, des avertissements restés discrets. Il est
vrai, les enjeux économiques sont non seulement
gigantesques, mais cachent souvent aussi de vastes
opérations de détournements et de mensonges.
Nous allons voir que, très
tôt, les États ont dépensé des sommes exorbitantes. Dès
les années 1980, des pays européens ont lancé des
programmes de subvention pour la recherche et le
développement des nanos. Outre-Atlantique, à la fin des
années 1990, Bill Clinton et Al Gore mettaient sur pied
la "National Nanotechnology Initiative" (NNI), un énorme
programme de subventions annuelles aux industries pour
“ne pas rater le tournant historique le plus
impressionnant de tous les temps”. Ils débloquaient près
d’un demi-milliard de dollars pour l’année 2000, et ce
n’était qu’un début. Les grands groupes économiques
(Procter & Gamble, IBM, Coca-Cola, Danone, Total, Areva
et cent autres) se sont lancés à corps perdu…
Cette enquête nous mènera
au cœur des laboratoires de toxicologie et des instances
de santé publique. Chose incroyable : en France, des
organismes publics ont mis en garde les responsables
politiques dès 2004, sans résultat. Et des scientifiques
tiraient l’alarme même avant. Les nanoparticules les
plus utilisées (nanotubes de carbone, nano-argent,
nanotitane…) se révèlent être de redoutables toxiques
qui provoquent des mutations génétiques, des cancers…
Les nanotubes de carbone peuvent même provoquer des
perturbations neuronales et des mésothéliomes, ces
cancers de la plèvre qui jusqu’ici étaient
essentiellement causés par l’amiante.
Comment en sommes-nous
arrivés là ? Je me suis penché sur les procédés dont les
lobbies ont usé pour engluer les autorités et convaincre
les organismes publics de participer à la course aux
nanos sans s’inquiéter. Ce sont leurs actions, leurs
pressions conjuguées sur fond de complaisance qui ont
rendu possible cette précipitation, ce déchaînement qui
menace chaque jour d’exploser en causant d’incalculables
dégâts.
Nous aborderons aussi les
leçons qu’il faut tirer au plus vite de cette affaire
qui apparaît comme un nouvel avatar de la vulnérabilité
des institutions face à la pression de plus en plus
sophistiqué des groupes industriels. Comment devons-nous
agir pour que la santé publique ne soit plus la variable
d’ajustement de la logique des marchés ? Les solutions
existent, comme nous le verrons au dernier chapitre. Que
les États les appliquent ne dépend que de notre
mobilisation.