PRÉSENTATION  DE 

 

 RENÉ  BONNET  DE  MURLIVE : 

DISTINCTIONS

PERCEPTION DE L'ÉCRITURE POÉTIQUE

TÉMOIGNAGES

 

 

René Bonnet de MURLIVE
Lauréat de l'Académie Francaise de l'Institut de France
(Premier Prix biennal Maïse Ploquin-Caunan, avril 1985)
Membre de l'Académie française de POÉSIE (Mars 1985)

 

 

 

DISTINCTIONS 

 


* 1er Prix biennal Maïse Ploquin-Caunan 1985, de L'ACADÉMIE FRANÇAISE DE L'INSTlTUT

* MEMBRE 1986, Secrétaire National de l'Académie Francophone. 

* Médaille d'Or, Premier Oscar d'Or, Sénateur-Académicien d'Honneur de l'Académie Internationale de la Cité de Rome et du Lys rouge de Florence. 

* Grande Croix d'Or du Mérite et du Dévouement Français et de l'Éducation Sociale. 

* Membre de la Société Académique des Arts Libéraux de PARIS. 

* Croix du Mérite Poétique de l'Académie des Poètes Classiques de France. 

* Prix Ronsard 1984 de  L'ACADÉMIE  DES  MARCHES  ET  D'OUTRE MER. 

* Lauréat et Membre de l'institut Académique de Paris (revue Fleuron). 

* Médaille d'Or et Médaille de Vermeil de l'Académie de Lutèce. (Inter-Muses).                                 

* DOCTEUR-ACADÉMICIEN de l'Académie des Arts de Felgueiras (Portugal).                         

* Ex-membre de l'Association des Poètes de l'Amitié de Dijon. (Florilège).

* 1er Prix de Poésie à l'unanimité de l'Université populaire de Chenôve (Côte­d'Or), 1984.

* Membre des Dossiers d'AQUITAINE (Bordeaux).
* Maître ès Jeux et Le Connétable des Muses de la Société des Belles Lettres du Quercy et de l'Académie des Arts et des Lettres du Périgord.
* 1ère Médaille du Prestige de l'Académie du Disque de Poésie de Paris. 

* Diplôme d'honneur du Festival de Biscarosse, 1983. (Planète des Arts).                               

* Membre d'honneur des O.H.F. de l'Ordre de Malte, 1989, donateur depuis 1969.             

* Chevalier de l'Internationale des Arts, 1984.                                                                       

* Commandeur de l'Encouragement Public.                                                                               

* Admis à l'Académie française de Poésie (mars 1985).
* Médaille d'honneur régionale de Vermeil, 1988. Médaille départementale d'Argent 1983.
* Grand collier doré de l'Académie italienne de Vada -                                                                  

* Lauréat de l'Académie Normande -                                                                                        

* Grand Prix du Musée de Poésie de Carpentras, 1983.                                                           

* Ancien Président du Jury de la Lyre Normande et du Cygne de Caen.                                               

* Ex-directeur, pour La Poésie de la Revue Franco-Roumaine FLORICA.                                         

* Ex-collaborateur des Revues ART et POÉSIE de TOURAINE, le Borée.


 

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PERCEPTION DE L'ÉCRITURE POÉTIQUE

 

 

Lire, « parcourir », un texte, poétique, digne d'attention, en glissant, distraitement, sur les mots, sans les pénétrer, un à un, syllabe après syllabe, est n'en saisir, qu'une vague impression, du fait qu'ils vous relatent ; sans prendre conscience de la profondeur du fond ni de la beauté formelle et par conséquent du charme qui se dégage d'une, convenable, lecture et d'une juste interprétation; quand, la mesure et le rythme et la césure et, s'il y a lieu, la rime, sont respectés, avec le ton, l'accent, indispensables à l'harmonieuse diffusion du discours.

Chaque RE-lecture, RÉinterprétation nécessaires, permettent de pénétrer, plus encore le secret du texte, en s'imprégnant, de lui, jusqu'à ce qu'il s'incorpore, à son interprète, qui le restitue, ainsi que s'il l'improvisait, de son cru.

Semblables EXIGENCES, pour un, valable, résultat, expliquent la mauvaise approche, fréquente, d'une POÉSIE de VALEUR, tout autant que la, manifeste, délectation des, exceptionnels, lecteurs et lectrices, capables de goûter et de commenter équitablement, le meilleur de ces notables écrits.
Nous ne savons que trop combien, l'effort, rebute.

Or, l'écriture, négligée, vulgaire,INSIGNIFIANTE de la « chanSoRnette » et de la fausse poésie, comme de la prose journaleuse, facile, chaque fois qu'elle n'est pas... délirante, DIVAGANTE, ne saurait encourager une, plus fréquente, perception, attentive, réfléchie, appliquée.

Aux, seules, Personnes, aptes, continûment, aux efforts, d'une ATTENTION qui ne vaut la peine, que pour le BONHEUR et l'HONNEUR qu'on en retire, s'adressent les, VÉRITABLES, Poètes, car d'Elles uniquement, peuvent émaner des jugements compétents, puisque, JUSTES, toujours.
Que les ignares, les « persifleurs », les négligents, s'abstiennent de telle lecture !

IMPORTE, PLUS qu'une quantité... NÉGLIGEABLe, UNE QUALITÉ d'INTERLOCUTEURS, (que sont les VRAIS LECTEURS), AUTANT QUE POSSIBLE, CHOISIS, par des AUTEURS, qui les respectent autant qu'ils SE respectent.

TOUT CELA, POUR LE PLUS GRAND BIEN DE NOTRE LANGUE.

 

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TÉMOIGNAGES

 

 

Chanoine Pierre FONTAN - août 1991 : 

« J'ai passé une grande partie de la nuit à laisser pénétrer en moi vos poèmes, sans rien omettre, sans pouvoir m'en détacher. Je souscris entièrement aux éloges que j'ai pu lire, admirant votre classicisme authentique, c'est-à-dire non figé, mais jaillissant de source sans rhétorique ni recherche d'effet. Ces poèmes sont vrais et cette vérité se confond avec leur richesse, celle d'une vie intérieure où la passion, comme dit Molière, parle toute pure : elle le fait en termes admirables dont j'admire la liberté ».

Vos écrits poétiques sont des rares qui ne m'ennuient pas. Ces vers loin des rengaines compassées subies ou commises, malgré moi, sont si vivants, si pleins, si bien soulevés par la meilleure satire, celle que je partage avec vous ».


Nicole LAMOTTE  (Calvados)

« Merci au poète! Merci au maître! Votre écriture est un trait de lumière! La force et le génie de celui qui peut dire : je sais! »


Jean BAILLON  (l'Oriflamme)

« Rien de la grande poésie traditionnelle n'est étranger à Murlive : épîtres, odes, satires, sonnets, proverbes viennent naturellement, sous sa plume, avec l'assurance d'un artiste maître de son art ».


Émile MAGNIEN, Conservateur du Musée Lamartine à Mâcon.

« J'ai écouté vos poèmes et en ai apprécié les qualités de forme et d'inspiration. Bravo pour vos fables et apostrophes ! C'est un genre difficile où vous réussissez  spontanément et où vous faites mouche!... Il y a dans vos poèmes un soupe, un ton de discours qui amènent à mon esprit le souvenir du beau, tel le poème sur Mallarmé (L'après-midi d'un Faune) ou telle page de M. de Guérin (Le Centaure) sans que soit en cause votre originalité.., qui s'impose au lecteur par le jaillissement ininterrompu du déroulement de la pensée dynamique et cohérente ».


Jean-Michel LÉVENARD (Côte-d'Or).

« C'est toujours la même veine classique, rigoureuse et superbe !
Mais la plume artistement taillée pour le bel ouvrage trempe dans l'acide qui marque la plaque de cuivre du temps plutôt que dans l'eau de rose ou l'eau bénite. La poésie transcende le langage. Vous êtes de ceux qui possèdent cette capacité quoi que soient les sujets. Je dirais que vous prenez le langage bras le corps! Ce qui pour un classique sans concession est un tour de force véritable et me fait penser à la lutte avec l'ange ».


Jacqueline THÈVOZ  (Suisse).

« Murlive nous prouve qu'il connaît à fond l'âme humaine et dit, admirablement, lui qui est génial en poésie, ce que personne n'ose dire, dans cette langue de seigneur qui est la sienne ( Le Républicain) ».


Christine DELCOURT  (Vannes).

« Vos possibilités de jugement et d'observation témoignent d'un grand sens de la psychologie, d'une forte personnalité qui fait de vous un prince... en poésie. Vous donneriez de la valeur aux poètes de cour, s'ils existaient encore et cela sans aucune allusion péjorative, car vous le seriez en toute sincérité, sans flatterie.

Ces Épîtres aux Princes sont des portraits de choix, témoignant d'un grand sens de la psychologie et d'une foi politique qui n'exclut pas les capacités critiques de l'auteur ».

 

René HUARD, prêtre de Saint-Sulpice, Prince et Saint incognito de l'Église.

« Cher fils de ma vieillesse ; soyez reconnaissant du ciel de tant de dons ! Je vous recommande tout particulièrement à Dieu. Il ne peut pas ne pas bénir votre courage »

 

S.E.R  Mgr René DUPANLOUI, évêque de BELLEY.

« Des couplets si beaux dans leur inspiration profonde et dans leur forme typographique ».


J. BARRÉ de CLAIRAVAUX  (Les Dépêches de Dijon).

« Murlive nous paraît un poète, hors du temps parce qu'il est de tous les temps.Les soubresauts des modes et des genres ne l'ont pas atteint parce qu'il écrit avec son âme, avec ses sentiments sur un rythme élevé... Un romantisme rénové.., un regard vif et lucide sur le monde qui l'entoure... »


J. ROIZOT  (Bourgogne).

« Vos poèmes sont absolument parfaits ».


Michèle D., (Meaux).

« J'ai été émerveillée par votre personnalité !...»


Jacqueline P., de Rouen.

« Je suis très sensible à ces merveilleux poèmes ».


J-M. OLINGUE, (L'albatros), Président de l'A.PC.F.

« L'enchantement de Pétrarque se renouvelle ici ! Une très haute flamme se calme et se contemple ! de l'intangible délice du corps à la possession dans l'extase. Murlive exprime de façon unique, le mystère de la fascination charnelle en même temps qu'idéale ».


Jean MOULINIER  (Oltis).

« Un travail de maître qui fait penser à Paul VALÉRY, Murlive a comme lui la conscience studieuse ».


Jean PAULIN  (Florilège 51).

« Style syllabique très personnel avec des cantiques très purs et de beaux hymnes »


Professeur Raymond LAUTIÉ.

« Murlive, un poète vrai ! Un poète libre ! en un temps où trop de rimailleurs massacrent notre langue ! »


Professeur Henri BARUK. Un maître en psychiatrie. Membre de l'Académie Nationale de Médecine.

« Le choc de la vérité, avec la sagesse de l'Ecclésiaste! »

 

S. BLANCHARD, Président des poètes de l'Amitié.

« Un véritable poète qui a la force de la rime.., et un style syllabique...
Ce recueil (La fontaine des amours) aurait pu emporter une palme d'or ou l'oscar de la poésie françaisea».


Le président Chaban-Delmas.

« Une œuvre de la plus haute portée ».


André MALRAUX.

« Tous mes vœux pour l'œuvre du poète national ».


Raymond Triboulet de l'Institut de France. Ex-ministre.

« Merci, cher chevalier de la langue française! »


Le Président du Conseil, Pierre Mendès France.

« Je suis heureux de conserver vos poèmes et de pouvoir les relire... »


Mohamed SELMI, d'Anselme (Tunis) de l'Académie Francophone.

« Vous avez une place importante dans la poésie... »

 

S.A.R. HENRI  VI, Comte de Paris, Prétendant à la Couronne de France.

« Très sincèrement, je vous félicite pour votre talent et pour votre volonté d'être  solidaire de tous en un moment où la division est la loi et le dénigrement la règle ! »

 

Solange de BRESSIEUX   (Intermuses)

«... Cela sent Boileau et La Fontaine... »

 

R. GUYVALLET, de Paris

« Merveilleux poèmes imprégnés de la générosité et de la délicatesse du poète. Enfin de la poésie qui chante avec des rimes qui nous change de cette poésie galvaudée à longueur de journées ... »

 

Roger FRISON-ROCHE, Prince des Cimes

« Je vous envie d'écrire des choses, si belles et si profondes, en si peu de mots ».

 

Jean  DAVY  (Yvan JADE)

« Votre talent n'a pas de frontière et s'exprime avec aisance et clarté, dans tous les genres ! »

 

Christian MALAPLATE, de Montpellier (Radio Agora)

« Poésie de lumière, de sensibilité, de richesse ...

Je suis heureux de saluer un grand poète de notre temps ! »

 

 

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