SES  PUBLICATIONS

LIVRET DE POÈMES

 

Collection Zénon, supplément à la revue Portique, revue de création poétique, littéraire et artistique (12 pages au format 21 x 15 cm - Le Théron, 84110 Puyméras (FRANCE) - Site : www.multimania.com/portique).

 

« CE NE SONT PAS LES VERS QU'IL FAUT DIRE 

COMME DE LA PROSE,

MAIS LA PROSE QUI DOIT ÊTRE DITE 

COMME LES VERS ».

 

L'ART PROSÉTIQUE

 


PRO-se, rythmée, ou POésie en PROse, aux vers dans la mê-me coulée, unis ?  

PROsodie, Ex-igean-te, sous la PROse oû cha-que “pied” d'un vers est syllabé :

La PROSÉSIE, enfant de l'Une et  l'Autre (asso-ci-ant  les deux ex-press-i-ons),

 EXEMPTE, au-tant, des interdits de chaque, EXPRI-ME  TOUS, les thèmes 

qu'EL-LE  PEUT, tout à tour : POétique ou PROsaïque...

Indifférem-ment la rime, adoptant, mais PROmouvant plutôt, la ri-me RICHE,

 insistant sur L'ARTICULA-TION que le “diseur” de tex-te, TANT, néglige !

U-ne véritable PARTI-TI-ON, pour une exac-te lectu-re, s'impose, ou le tiret,

 marquant le prononcé, à toute arti-culati-on, s'insère.

Il faut, aussi,  qu'un mot, (en rime ou non), s'il clôt un vers, de façon... féminiNE : à

sa consoNNe ULtime :  LA VOYELLE, inaugurant le vers lui succédant, JOI-GNE, 

fondant les deux vers l'Un dans l'autre.

Ainsi conçu : cha-que vers, mieux, s'intègre en le suivi d''u-ne PRO-se sans heurt !
D'un seul te-nant, pour chaque paragraphe, accomplissant  UN  TOUR  DE  FORCE
VRAI, fort ponc-tu-é pour NUANCER l'ensemble.

EFFORT, RÉ-EL, à ce jour sans rival, EXPLOIT  UNIQUE, ob-te-nu  par nul autre!

 ART  RIGOUREUX  LE  PLUS, pour son auteur,  ÉLARGISSANT  HARDIMENT le 

domaine, infi-me, d'un art "poétique" étroit :

LA  PROSÉSIE offre à qui la veut suivre UN  CHE-MIN  hors des sen-tes rebattues.

 

 

           

                  

PROSÉSIE,  aux Éditions Arcam 

40 rue de Bretagne 75003 Paris

LE  SYLLABAIRE, aux Éditions des Écrivains, 

147-149 rue Saint-Honoré 75001 Paris

 

LE SYLLABAIRE 

 

La poésie se limite-t-elle à l'insignifiance des abscons comme à celle des radoteurs,
ressassant interminablement les mêmes sempiternels lieux communs d'un registre singulièrement limité ?

Il paraît que tout ce qui présente de l'importance, « genre ingrat entre tous », est «prosaïque» donc interdit, comme les rimes, aux poètes véritables, voués à s'exprimer pour ne plus rien dire !

Comment, dès lors, s'étonner que plus une personne sensée ne les écoute ? 

La vile prose et la « chansonnette » ne sauraient garder le privilège, immérité, des grands sujets, sans péril pour la qualité de l'écriture !

Car, à côté d'une « poésie » stérile puisque incommunicable, une proésie significative la suppléant devrait trouver sa place et son audience étendue et entendue.

Et pour bien montrer qu'elle est affranchie de toute ségrégation littéraire, elle ne craint point de concurrencer la prose, non pour prosaïser la poésie, mais bien au contraire afin de poétiser la prose.

La prosésie devient donc un genre particulier (entre la prose et la poésie), apte à saisir un message intelligible, dans le droit fil d'une tradition française, de clarté, de mesure et d'harmonie, qui avait cours, de Ronsard à Hugo, avant l'impasse des tenants, obstinés, du contraire.

 

                                                                                             René Bonnet de MURLIVE 

                                                                                             de l'Académie Francophone

 

À sa manière toute spéciale, Murlive a été saisi par « la rage de l'expression » qui inspirait Francis Ponge.

Mais comme il s'agit d'abord, pour lui, d'une obstinée défense de l'oralité de notre langue française et du sens de vocables à ne pas traiter « distraitement », l'auteur a élaboré son propre code, qui interpelle le lecteur à chaque mot et même à chaque lettre.

On en trouvera le « manifeste » en conclusion de ce recueil.

De cette singulière rigueur il résulte déjà, pour l'œil, une véritable danse typographique (la composition par ordinateur a dû être inventée pour lui !).

Cependant, Murlive demeure attentif aux autres dans leur différence et il fait ici généreusement place à quelques-uns qu'il accueille dans sa pléiade.

                                             

 

Gérard MURALL

LA BRIGADE, aux Éditions ARCAM 

 40 rue de Bretagne 75003 Paris.

Les sept étoiles, poétiques, de La Pléiade, parmi lesquelles RONSARD et DU BELLAY, brillaient, particulièrement, baptisèrent, d'abord, leur Constellation du nom de La Brigade, avant de lui préférer celui de La Pléiade, en référence à une Pléiade grecque d'Alexandrie (IIIe siècle avant J.-C.).

Ne partageant, aucunement, cette grécomanialâtrie (ni latinomanialâtrie), il nous appert que La Brigade est un terme plus convenable à la réunion de sept poètes Français et Francophones.

 

De MURLIVE, pour la place de RONSARD :  il faut citer, en sa faveur, ce qu'en écrit l'Éminent Francophone Constantin FROSIN, Docteur ès Lettres et Professeur de l'Université de Galati (Roumanie) : MURLIVE, le Prince de la Francophonie, des Poètes et de l'Amitié, le Poète National de la France, le plus grand des poètes. Jugement confirmé par Maurice TOESCA, autre Docteur en Lettres et savant biographe de VIGNY et de LAMARTINE :

MURLIVE, digne de RONSARD et de VALÉRY. Si l'on ajoute à de tels éloges celui de Georges COLIN qui l'apparente littérairement à HUGO, et celui de Christine DELCOURT, qui lui décerne les titres de Prince en Poésie et de Poète de Cour, sans flatterie, sans omettre celui de Christian MALAPLATE, qui voyait, en lui le plus grand des poètes vivants : pareille diversité de laudateurs, en accord, sans s'être concertés, justifie assez équitablement cette Première Place de MURLIVE dans cette BRIGADE poétique.

 

De Jean-Marie OLINGUE pour la place de DU  BELLAY, prématurément décédé, comme lui, avant ses quarante ans un tel honneur est, amplement, mérité pour la beauté incomparable de ses délicieux aphorismes olinguiens, si personnels, et pour la qualité de ses vers, dignes des plus grands de la Poésie, qui font, de lui, le numéro i des Hellènes et l'un des meilleurs auteurs Francophones et Français, comme le demeure DU BELLAY, partenaire le plus incontestable de RONSARD.

 

Au sujet de Pierre FONTAN, prélat aussi savant, intelligent, talentueux que Bon, intègre, sans reproche, véritable, saint, ignoré par la faute de sa discrétion comment ne pas l'assimiler à PONTUS DE TYARD, Evêque, Humaniste et Poète d'authentique noblesse.

 

De Josette TOURNERIE, aussi passionnée, amoureuse, on ne peut que placer cette descendante littéraire de Louise LABÉ, dont quelques strophes pourraient s'ajouter à celle du LAC de LAMARTINE, qu'à la place de BAÎF, étoile de La Pléiade.

 

Au professeur d'Université Constantin FROSIN, Universitaire Éminent, premier Francophone de Roumanie et dont LE FRANÇAIS est une autre Langue Maternelle, original Poète, amoureux de la France et de la Langue Française il revient d'hériter de la place du savant DORAT, L'FRUDIT de La Pléiade.

 

De Joèl CONTE, un doux, poète, toujours délicat, émouvant et profond, actif, dévoué, infatigable serviteur de la Poésie et de la Francophonie à la place de BELLEAU revient le mérite prometteur.

 

Enfin pour Georges COLIN, humble poète si authentique si touchant, sensible, voué à la Poésie avec un désintéressement si total, une persévérance si louable, nous réservons la place de JODELLE, une attention, posthume, dont il aurait été comblé de joie.

 

ŒUVRES  DE  MURLIVE 

 

Le Poète National - Instantanés - Couplets écologiques 

Nouveaux instantanés - Les voix diverses Célébrations

La Fontaine des Amours - Épîtres aux princes - Fables de contre Fontaine

Nouvelles épîtres aux princes - Fables et apostrophes - Soliloques 

Cris et pleurs - Maximes - La patrie francophone 
Les voix célestes - Le Fol d’amour - D’amour et d’eau fraîche

 Écologique ou illogique ? - FrancOphone ou FrancAphone ?
L’art prosétique - Le Syllabaire - Prosésie I-II-III-IV

De nombreux textes sont aussi insérés dans des :


-- REVUES  ET  JOURNAUX

 

Florilège - Légion Violette - Paris 14e - L’Amputé de Guerre 

Dossier d’Aquitaine - L’Albatros - Art et Poésie de Touraine 

École de la Loire - Phréatique - Fleuron - L’Étrave - Nouvelle Proue 

L’Oriflamme - Oltis - Le Borée - La Pléïade Pictave - Portique - Mélusine 

Périgord - Marseille - Florica-Muscade

L’Aéropage - Plume Angevine - Séquences - Fraterniphonie 

Le Courrier Francophone - La Belle Saison - Rencontres.

 


-- ANTHOLOGIES

 

Les grandes anthologies - L’encyclopédie poétique 

 Livres d’Or de Lutèce - L’anthologie des poètes classiques 

 La poésie contemporaine - Bibliothèque internationale de poésie 

Le musée de poésie de Carpentras - Planète des arts 

Saint-Brévin­Les-Pins - Séquences - Livres d’or de Grassin.

 

 

-- ÉDITEURS

 

Imbert Nicolas - Arcam - Poètes de l’Amitié - Agra Éditions
J. Grassin - Le Poèmier - Les Paragraphes Littéraires

 Les Éditions des Écrivains - Les Cahiers du Poète.

 

L’Académie Française a couronné l’œuvre de MURLIVE en 1985.

 

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