Asselineau 2012 et la France d'Outre-mer Comme Christine Boutin, ex-ministre et candidate à la Présidentielle de 2002, l’a dit, l’UMP et le PS ont donné des consignes à leurs élus pour ne pas parrainer d’autres candidats que Bonnet Blanc et Blanc Bonnet à l’élection présidentielle. Cette façon de faire, à n’en pas douter, est un déni de démocratie. De plus, qu'auraient à craindre l’UMP et le PS d’autres candidats, si comme ils le disent, ce sont eux les meilleurs ? Pour qui que vous ayez l’intention de voter, à droite, à gauche, au centre, aux extrêmes, il nous semble important de pouvoir entendre la voix de François Asselineau à la télévision lors de la campagne officielle de la Présidentielle d’avril 2012, car sinon, il est à craindre, hélas, que nous n’y entendions guère parler de langue française et de Francophonie. Bien sûr, si François Asselineau n’est pas votre tasse de thé, vous pourrez toujours parler de ce qu’il a dit, dans les domaines qui nous sont chers, à votre candidat préféré pour qu'il en tienne compte dans son programme. Mais pour avoir une chance de entendre François Asselineau, encore faudrait-il qu’il obtienne les 500 signatures d’élus qui lui permettront de poser sa candidature. Aidons-le alors à obtenir ses 500 signatures, demandez, en cela, un rendez-vous auprès du maire de votre commune, une bonne occasion, de plus, pour aller y parler de la défense de la langue française, de la francophonie et du respect des langues en général :
Demandez le dossier de parrainage à : François ASSELINEAU Président de l’Union Populaire Républicaine 60 avenue de la République 75011 PARIS Courriel : 500signatures@u-p-r.fr
Possibilité de
noter cette vidéo et d'y apporter
un commentaire,
en
allant sur :
http://youtu.be/J-AmTMfRz_4
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La candidature de François Asselineau à l’élection présidentielle a été
officiellement déclarée le 3
décembre 2011.
Elle s’est accompagnée de la présentation d’un
programme présidentiel, qui est généralement jugé par tous les
esprits impartiaux et de bonne foi qui l’ont visionné, comme le plus cohérent,
le plus précis, le plus pédagogique, le plus juridiquement irréfutable, le plus
techniquement fiable, et le plus radicalement novateur de tous les autres
programmes présentés aux Français.
Pourtant, cette candidature est systématiquement passée sous silence dans tous
les grands médias audiovisuels de notre pays.
Selon les relevés chiffrés du CSA, les temps de parole et d’antenne cumulés,
consacrés par toutes les télévisions françaises aux candidats déclarés à la
présidence de la République entre le 1er et le 27
janvier 2012
ont été les suivants :
3626
minutes pour François Hollande (plus de
60 heures)
3450
minutes pour Nicolas Sarkozy (plus de 57
heures)
913
minutes pour François Bayrou (plus de 15
heures)
722
minutes pour Marine Le Pen (plus de 12
heures)
568
minutes pour Jean-Luc Mélenchon (plus de
9 heures)
484
minutes pour Eva Joly (8 heures)
202
minutes pour Hervé Morin (3 heures 20
minutes), qui n’est plus candidat
186
minutes pour Dominique de Villepin (3
heures)
114
minutes pour Nicolas Dupont-Aignan (2
heures)
108
minutes pour Nathalie Arthaud (1 heure
48)
101
minutes pour Christine Boutin (1 heure
40), qui n’est plus candidate
92
minutes pour Corinne Lepage (1 heure et
demi)
36
minutes pour Philippe Poutou
9 minutes
pour Frédéric Nihous, qui n’est plus
candidat
et 0
minute 0 seconde pour François
Asselineau
Ce silence total fait fi des invitations que
nous avons lancées à des centaines de
journalistes à l’occasion de notre Congrès,
de nos sollicitations incessantes avant et
après, et des 58 lettres recommandées avec
accusé de réception envoyées voici un mois à
la rédaction des 58 plus grands médias
français.
Ce silence assourdissant, qui est également respecté par la grande presse
nationale, viole expressément les exigences d’ « équité » de traitement entre
les candidats déclarés, pendant la recherche des parrainages, telles qu’elles
ont été édictées par le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel.
En effet, suite à notre saisine expresse, M. Michel Boyon, président du CSA, et
Mme Christine Kelly, présidente du groupe de travail « Pluralisme et campagnes
électorales » du CSA, ont bien voulu nous confirmer, par écrit (voir
la lettre du Président du CSA) et par oral, que la candidature de
François Asselineau devait bénéficier de ces dispositions.
Le silence sans faille de tous les grands médias du pays sur la candidature de
François Asselineau est d’autant plus intolérable et choquant que ces mêmes
médias accordent, en cette période de pré-campagne présidentielle, une
couverture nationale à des candidats fantaisistes (Kenza Drider, alias « la
candidate en niqab », David Derrien, alias « Dédé l’abeillaud », Isabelle Laeng,
alias « Cindy Lee », etc.), ou à des candidats isolés n’ayant ni parti politique
ni sympathisants pour les soutenir (Maxime Verner, Clément Wittmann, etc.), ou
même à des responsables politiques qui ne sont pas candidats déclarés.
L’Union Populaire Républicaine (UPR) rappelle qu’elle compte maintenant plus de
1 200 adhérents (ce chiffre exact peut être vérifié par huissier) et des
dizaines de milliers de sympathisants.
Sa notoriété sur Internet ne cesse de croître, que ce soit via
son site officiel,
sur Facebook ou
sur Twitter.
Plus de 250 sympathisants et adhérents recherchent des parrainages depuis
plusieurs mois, et les réunions publiques que François Asselineau tient dans
toute la France attirent de plus en plus de monde.
Son programme présidentiel a déjà été visionné plus de 45 000 fois sur le seul
vecteur Dailymotion.
Les deux seuls passages du président de l’UPR sur des télévisions ayant une
audience significative ont été réalisés à l’automne dernier. Ils ont obtenu des
scores de visionnage et d’approbation qui ont stupéfié les journalistes
eux-mêmes.
Ainsi,
son débat sur BFM Business à la mi-septembre a obtenu plus de 26 000
visionnages sur Dailymotion depuis lors et
celui sur
France 24 plus de 15 000 visionnages. Dans les deux cas, ces
scores propulsent les vidéos de François Asselineau au tout premier rang des
historiques des émissions. Ils laissent très, très loin derrière, les scores
obtenus par les autres responsables politiques français invités à ces mêmes
émissions.
Pour tout observateur loyal et de bonne foi, tous ces éléments vérifiables
rendent nos demandes à l’égard des médias absolument légitimes et fondées.
Nous savons du reste, par des indiscrétions, que tous les grands journalistes
politiques français ont une excellente connaissance de qui est François
Asselineau, de ce que comporte son programme, et de l’envol de sa notoriété sur
Internet. Il est d’ailleurs normal qu’ils le sachent puisque la surveillance des
évolutions politiques en France constitue le cœur même de leur métier.
La question décisive qui se pose est donc de déterminer pourquoi ils s’obstinent
à refuser d’accorder à François Asselineau la couverture médiatique équitable à
laquelle le CSA lui-même a dit qu’il avait droit.
Cette absence de couverture médiatique n’est pas seulement un déni de démocratie
handicapant en soi pour mener campagne. Elle se transforme en obstacle
redoutable dans la recherche des 500 parrainages car les élus hésitent à
parrainer un candidat totalement absent des médias d’audience nationale.
Et plus le temps passe, plus cette absence médiatique totale est interprétée par
les maires des petits villages comme le fait que François Asselineau n’est pas
candidat pour de bon. Et comme les maires sont déjà les cibles de pressions
multiples pour qu’ils nous refusent des parrainages, et que ces parrainages sont
ensuite rendus publics, il y a désormais un risque réel et sérieux que François
Asselineau ne puisse pas obtenir le nombre de parrainages nécessaires pour être
candidat.
Nous allons donc finir par croire que c’est justement cette issue que
recherchent les grands médias de notre pays, ou en tout cas les forces
politiques, économiques et financières qui les dirigent. S’agirait-il d’une
nouvelle application des techniques de « prophétie auto-réalisatrice » mises au
point par les manipulateurs d’opinion ? Des techniques qui peuvent être
appliquées pour imposer un candidat, comme pour en écarter un autre.
Quoi qu’il en soit, en organisant un verrouillage absolu autour de la
candidature de François Asselineau, les grands médias l’empêchent de fait
d’obtenir les 500 parrainages fatidiques. Il sera alors fort commode de se
dédouaner ensuite en se prévalant du fait que François Asselineau ne méritait
pas qu’on lui donne la parole puisqu’il n’a pas pu réunir les parrainages
nécessaires.
La période de recherche des parrainages prend fin dans deux semaines.
La mobilisation de nos adhérents et de nos sympathisants ne faiblit pas, bien au
contraire, mais sans couverture médiatique, la tâche est pratiquement
insurmontable.
Nous demandons donc une nouvelle et ultime fois aux journalistes des grands
médias audiovisuels de rendre compte loyalement de la candidature de François
Asselineau, comme le CSA les y a invités formellement. Compte tenu des délais,
il y a désormais une urgence absolue.
Si le silence médiatique ne cesse pas dans les tout prochains jours, les
milliers de sympathisants de l’UPR, dont le flot grandit quotidiennement,
sauront définitivement à quoi s’en tenir sur ce qui reste de la démocratie en
France.
Bureau National de l’UPR
Pour obtenir des informations
ou solliciter une entrevue,
veuillez écrire à l’adresse suivante :
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