D'après l'auteur de ce petit texte, la Coupe du Monde n'est pas autant
francophone que l'opération « Oui, je parle rugby », lancée par le
Ministère des Affaires Étrangères pouvait le laisser espérer. On peut réagir à l'article. AK
**********************************
Chaque vendredi, le regard en coulisses de l'entraîneur d'Agen et conseiller de l'équipe de Géorgie.
Sans doute à cause d'un maître d'école qui m'a trop bien raconté le
bûcher de Rouen et l'exil de Sainte-Hélène, j'ai toujours été assez
réticent à l'égard de nos pires amis d'outre-Manche et carrément
réfractaire à l'utilisation de leur langue... Or cette "World Cup"
disputée sur notre sol consacre encore davantage le triomphe de
Shakespeare. Sur le terrain, foison de "up and under", de "rucks"
- 176 lors de France-Argentine - et le must : le "pick and go",
arme absolue des... danseurs de tango ! C'est pire à l'extérieur du "ground" : l'agent de liaison de l'équipe de Géorgie, Toulousain pure
souche, fils d'un copain du quartier Saint-Cyprien :
"coach, à quelle
heure le briefing ?" Je vais à la "welcome ceremony"... À quand
le "captain run" ? Je fais le "recording day"... Puisqu'une
finale Italie-Géorgie me semble bien compromise, je rêve d'un
Argentine-France ; un sommet bien latin, une façon aussi d'exorciser le
souvenir des fantômes du 7 septembre : Buena suerte
Source :
l'Humanité Possibilité de réagir sur :
***********************************
Faites un commentaire à :
Et envoyez la copie au Président Sarkozy : Écrire au Président de la République
|
|||||||