« COLLECTIF POUR LE DROIT DE TRAVAILLER EN LANGUE FRANÇAISE »
INVITATION À LA CONFÉRENCE DE PRESSE,
À L'ASSEMBLÉE
NATIONALE LE JEUDI 8 FÉVRIER 2007 (de 14 h 30 précises, à 16 h
30) - Salle
62-41 Entrée : 126, rue de l'Université - 75007 Paris Métro : Assemblée Nationale ou Invalides
(Inscription indispensable en renvoyant par courriel le BULLETIN
ci-dessous)
--- THÈME DE LA CONFÉRENCE Les attaques contre l'usage de la langue française dans les entreprises, révélateur d'une discrimination linguistique et de nouvelles menaces sur l'emploi. (Témoignages et enjeux)
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ORGANISATEURS Organisée par le « Collectif pour le droit de travailler en langue française », créé à l'initiative de la CFTC (Jean-Loup Cuisiniez) et de la section syndicale CGT d'Alcatel-Lucent, site de Nozay (Martine Lamonnier, Claude Josserand) le Collectif a été rejoint, à ce jour, par le syndicat UDPA-UNSA d'AXA Tech (Franck Grandmaison), le syndicat CGC - MF (Marchés financiers, Marc Boutellier), les associations FFI-France (section française du Forum Francophone International) et ALF (Avenir de la Langue Française), présidées par l'ancien ambassadeur Albert Salon, ainsi que le site militant de la francophonie www.voxlatina.com, édité par Alfred Mignot, Secrétaire général fondateur du FFI.
--- PRINCIPAUX ORATEURS (liste au 22-01, non exhaustive) L'essentiel de la conférence sera composée par les témoignages de syndicalistes « de terrain », ainsi que de personnalités politiques et associatives. Prendront ainsi tour à tour la parole les syndicalistes :
Jean-Loup CUISINIEZ, CFTC, porte-parole du Collectif, lauréat
2004 du Prix Lyse-Daniels (Québec) pour la défense du français dans
le monde du travail - Martine LAMONNIER et M. Claude JOSSERAND,
CGT Alcatel-Lucent, site de Nozay - Franck GRANDMAISON, UDPA UNSA
Axa Tech - Muriel TARDITO, CFTC Europassistance - Pierre-Jean
COULON, CFTC, responsable confédéral - Mme Dominique
MOUCKAGNY-MAMBO, CFTC Axa - Marc BOUTELLIER, CGC-MF (Marchés
financiers), etc... Des messages de soutien de personnalités éminentes seront lus. Des questions-réponses seront échangées avec les participants présents dans la salle.
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BULLETIN D'INSCRIPTION À LA CONFÉRENCE
à copier-coller et à renvoyer à : collectif@voxlatina.com dans les meilleurs délais, car le nombre de places est limité
Monsieur, Madame, Mademoiselle (effacez les mentions inutiles) NOM : ....................................... Prénom :.......................... Organisme (s'il y a lieu) :..................................................... demeurant à : ................................................................... Tél. : .................................................... Courriel : ..............................................
ASSISTERA à la conférence de presse du "COLLECTIF POUR LE DROIT DE TRAVAILLER EN LANGUE FRANÇAISE", le jeudi 8 février à l'Assemblée Nationale (14 h 30 - 16 h 30), Salle 62-41. Entrée : 126, rue de l'Université - 75007 Paris - Métro : Assemblée Nationale ou Invalides. NB - N'oubliez pas de vous munir d'une pièce d'identité, indispensable pour entrer à l'Assemblée Nationale.
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DOCUMENTATION DISPONIBLE EN LIGNE
COMMUNIQUÉS SYNDICAUX RÉCENTS
conférence de presse syndicats-associations-parlementairesacadémiciens (8 février), afin d'alerter l'opinion et nos dirigeants, avant la campagne présidentielle, sur les importants enjeux du français dans le monde du travail et des affaires (y compris les brevets européens) : Le 22 décembre 2006 s'est tenue une réunion décisive des associations FFI-France (Forum
Francophone International) et "Avenir de la langue française"
avec des syndicalistes de la CFTC et de la CGT (y compris d'Alcatel-Lucent). C'est un collectif syndical qui sera l'organisateur, et présenté comme tel. Il s'élargit à FO, à la CFDT, à la CGC, à Sud, etc. Pour la thématique de la conférence, quelques mots-clés lui donneront un ton. Elle s'articulera notamment autour des notions
suivantes : La possibilité d'inviter des
« patrons patriotes » a été retenue ; parmi les entreprises nommées
: Des parlementaires « de tous bords » sont invités, dont certains ont déjà accepté, ainsi que de hautes personnalités : Académiciens, écrivains, membres du Collège de France, universitaires de renom. Un « comité de scénario » s'est mis au travail afin d'affiner l'organisation de la conférence (prises et temps de parole, présences à la tribune ou dans la salle), et de promouvoir la conférence auprès des medias (constitution d'un dossier de presse pour les journalistes ... ), élus, candidats, autres syndicats et associations militant pour la francophonie. Nous espérons vivement qu'il vous sera possible de venir à l'Assemblée ce jour-là, manifester votre intérêt pour cette manifestation qui, bien orchestrée, pourrait bien frapper l'opinion sur ce sujet de plus en plus sensible politiquement. Son importance ne saurait vous échapper. . Veuillez agréer l'expression de notre espoir et de nos vœux fervents pour la nouvelle année.
président du FFI-France et d' "Avenir de la langue française"
Et voici l'article que nous avons diffusé, notamment dans les milieux syndicaux :
Les partisans du tout-à-l'anglais mènent dans nombre de nos grandes entreprises une offensive de grande envergure. C'est, bien évidemment, au plus grand détriment de notre langue. Mais ce l'est aussi des intérêts des salariés français. Ils se trouvent de plus en plus remplacés par d'autres qui parlent mieux l'anglo-américain. Et même fréquemment par des Anglais, Américains et autres Anglo-Saxons qui l'ont comme langue maternelle, ce qui amène à une véritable discrimination Face à cette offensive menée de longue main, des syndicats commencent, depuis quelques années, à réagir. Rappelez-vous le dernier exemple, assez frappant : la GEMS (General electric medical systems) et son procès retentissant gagné par ses salariés en appel à Versailles au début de cette année 2006. Nos associations de défense et de promotion du français, après avoir crié dans le désert pendant de longues années à propos du .français dans le monde du travail ("Aujourd'hui on brade votre langue, demain on bradera vos emplois", l'un des slogans de "Avenir de la langue française" depuis 1997), ont été naturellement au côté des syndicats résistants dès qu'ils ont voulu entrer en résistance. Elles le sont a fortiori aujourd'hui, au moment où des syndicalistes s'engagent dans une conférence de presse qu'ils prévoient de tenir ensemble en février prochain, juste avant le début de la campagne présidentielle, pour y faire monter les enjeux et enchères en matière de patrimoine français de langue et d'emplois. Cette conférence de presse réunira tous les syndicats qui voudront bien la porter, toutes nos plus importantes associations de promotion du français, des parlementaires amis venant de divers bords, ainsi que des Immortels. Il s'agira bien d'une manifestation politique au sens noble du terme, française, non partisane, unitaire sur les enjeux vitaux. Cette conférence de presse, animée par des syndicalistes représentatifs du pluralisme syndical et soutenue par nous tous, devrait faire l'effet d'une canonnade, réveiller une opinion chloroformée par les medias trop attentifs aux intérêts qui ne sont pas les nôtres, et donc faire réfléchir nos "élites dirigeantes" trop acquises à l'Empire étranger hégémonique et à son relais bruxellois.
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