|
Jacques Toubon, défenseur des Droits, alors qu'il ne défend même pas sa propre loi ! |
|
|
Date : |
20/06/2014 |
|
Envoi de Jean-Pierre Colinaro (courriel : afrav(chez)aliceadsl.fr) Mesure anti-pourriels : Si vous voulez écrire à notre correspondant, remplacez « chez » par « @ ». |
|
Jacques Toubon en défenseur des droits... de la loi Toubon ?
Jacques
Toubon en défenseur des Droits, alors qu'il n'est même pas capable de
défendre sa propre loi, la loi Toubon, une loi qui est censée défendre
la langue française en France et qui est tellement bafouée aujourd'hui
dans notre pays que l'anglais paraît être le seconde langue des Français
! Oui, si Jacques Toubon défend le droit comme il défend sa loi éponyme,
alors on a du soucis à se faire.
On ne notera, par contre, que si la proposition de nommer Jacques Toubon à ce poste est critiquée par certains politiciens, jamais ceux-ci, dans leurs critiques, ne lui font grief de ne pas se battre pour le respect de sa loi. Preuve, s'il en fallait une, que la politique en faveur de la langue française et de la Francophonie, est le dernier des soucis de nos politiciens et que l'anglicisation programmée de notre pays, ne les gêne pas outre mesure.
JPC
***************************
Jacques Toubon, Défenseur des droits : « L'Élysée n'a pas l'intention de renoncer »
Jacques Toubon pourrait devenir le nouveau Défenseur des droits.
Il succéderait à Dominique Baudis. | LP/Matthieu de Martignac
Malgré une levée de bouclier à gauche contre la proposition de nommer Jacques Toubon au poste de Défenseur des droits, l'Élysée ne compte pas faire marche arrière.
Le contexte. C'est peu dire que la proposition de François Hollande de nommer Jacques Toubon à la succession de Dominique Baudis au poste de Défenseur des droits, n'a pas reçu un accueil chaleureux dans les rangs socialistes. De nombreux parlementaires de la majorité se sont déchaînés face au parcours de ce chiraquien de longue date.
En cause, notamment, son vote contre la dépénalisation de l'homosexualité lorsqu'il était élu de Paris. Mais malgré la perspective d'un vote difficile à la Commission des lois du Parlement, l'Élysée ne semble pas décidé à lâcher prise. Comme si, à mesure que sa popularité se dégradait, le Président se sentait plus libre dans ses choix.
Source : rtl.fr, le jeudi 19 juin 2014
Possibilité de réagir sur :