Sujet :

Barroso ou l’insolence d’une caste de politiciens non élus, acquise aux intérêts anglo-américains

Date :

03/06/2013

Envoi de François-Xavier Grison  (courriel : francois-xavier.grison@u-p-r.fr)  

Polémique Barroso :

L’UPR dénonce l’insolence d’une caste de politiciens non élus, acquise aux intérêts américains

José Manuel Barrosa, un anglomaniaque invétéréDans un entretien à l’ "International Herald Tribune" lundi 17 juin 2013, José Manuel Barroso a qualifié de « réactionnaire » la volonté de la France d’exclure l’audiovisuel des négociations relatives à l’établissement d’un marché transatlantique.

Une semaine plus tard, lundi 24 juin 2013, il a indiqué à l’intention d’un ministre français, qui s’était ému de cette attaque, qu’« il faudrait que certains responsables politiques français abandonnent certaines ambiguïtés à l'égard de l'Europe et la défendent davantage à l'égard du nationalisme, du populisme, voire du chauvinisme ».

Cette violence verbale et ces propos haineux s’expliquent probablement par le souci de José Manuel Barroso de servir avec empressement, comme à son habitude, les intérêts stratégiques du pays qui a fait sa carrière : les États-Unis d’Amérique.

L'UPR rappelle en effet que cet individu, qui fut en 1974 le responsable des étudiants maoïstes, fut repéré et cornaqué par Frank Carlucci, ambassadeur américain au Portugal entre 1974 et 1977 et membre éminent de la CIA, dont il a été directeur général adjoint de 1978 à 1981.

Devenu ensuite Premier ministre du Portugal, en 2002, José Manuel Barroso avait alors totalement inféodé son pays aux États-Unis d'Amérique. Il avait notamment soutenu aveuglément le déclenchement de la guerre illégale en Irak. Il était même allé jusqu'à vouloir brader, par une vente de gré à gré en 2003, la société nationale portugaise de pétrole à Carlyle, fonds d’investissement des familles Bush et Ben Laden, dirigé par Frank Carlucci, renvoyant, de cette sorte, l’ascenseur à son mentor.

C'est suite à ce scandale que José Manuel Barroso quitta ses fonctions de chef de gouvernement portugais pour être nommé aux fonctions de Président de la Commission européenne, par simple cooptation et sous pression anglo-américaine.

Les injures proférées par ce collaborateur patenté « du nationalisme, du populisme, et du chauvinisme » atlantistes à l'encontre de responsables politiques français, témoignent de l’insolence croissante de la caste dirigeante européiste. Non élue, vivant dans un luxe insolent et méprisant le malheur et la misère dans laquelle ses politiques plongent des dizaines de millions de personnes en Europe, cette toute petite classe d'apparatchiks se permet de défier avec mépris la démocratie et la souveraineté des peuples et de traîner dans la boue les responsables politiques nationaux qui lui résistent ou qui, tout du moins, font semblant.

L'Union Populaire Républicaine (UPR) rappelle qu'elle invite le peuple français à libérer la France de cette tyrannie de plus en plus visible, en faisant sortir la France de l'Union européenne, de l'euro et de l'OTAN.

 

 

L'Union Populaire Républicaine, l'UPR

 

 

François-Xavier Grison  

Courriel : francois-xavier.grison@u-p-r.fr

Tél. : + 33 (0)6 72 02 57 34

 

 

 

 

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Pour mémoire, en 2010, déjà !

 

 

José Manuel Barroso, un escroc linguistique !

Lors du Sommet de Copenhague sur le climat de décembre 2009, force a été de constater que José Manuel Barroso, le président de la Commission européenne, n'a cessé de parler américain (anglais) tout le long de ses conférences et entrevues. La question que l'on pourrait se poser, alors, serait de savoir qui lui a donné l'autorisation de représenter l'Europe dans la langue des Américains. L'autre question que l'on pourrait se poser, également, serait de savoir pourquoi lorsqu'il donne à Bruxelles une conférence de presse en français avec le président Nicolas Sarkozy, il se met à parler anglais au nom du respect de la diversité linguistique (sic), alors qu'il s'est tu sur le non-respect de la diversité linguistique à Copenhague où tout se passait en anglais. Autrement dit, M. Barroso défend la diversité linguistique lorsque dans une réunion il n'y a pas d'anglais, mais ne dit mot sur le non-respect de la diversité linguistique lorsque tout se fait en anglais. Alors, un escroc linguistique, M. Barroso ?

 

 

José Manuel Barroso, un escroc linguistique !

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