Sujet :

Dans l'Aude, les écoliers sont soumis à l'anglais obligatoire dès le CP !

Date :

07/03/2014

Envoi de Philippe Loubière (phloubiere(chez)wanadoo.fr)

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Organisons la Résistance !

Franck Jarno, direction des services départementaux de l’Éducation nationale (DSDEN) de l'Aude

Franck Jarno, direction des services départementaux de l’Éducation nationale (DSDEN) de l'Aude,

un fonctionnaire dans la pure tradition française de la Kollaboration.

 

Devant l'anglomanie qui est en train de gagner toutes les couches de la société française, devant cette envie irrésistible des Français à préférer la Kollaboration à la Résistance, je pense, afin de tenter de réveiller la conscience endormie du peuple, qu'il faudrait bombarder nos villes et nos campagnes, de tracts et d'autocollants aux couleurs de "Non à l'anglais colonial", "US language go home", "Non à l'anglais partout", "Non à l'anglais obligatoire dans nos écoles", etc.

À l'image de ce que nous pouvons lire dans l'article ci-après, un article qui nous relate ce qui se fait actuellement dans l'académie de l'Aude au niveau de l'enseignement des "langues étrangères", lorsque les responsables de l'Éducation nationale parlent de l'enseignement des langues étrangères (au pluriel), il s'agit en fait, dans 99% des cas, du seul enseignement de l'anglais (au singulier). Nous sommes donc bien là, dans cette catégorie de Français qui préfèrent Kollaborer à la mise en place de l'anglais partout, plutôt que de Résister face à l'anglicisation.

Militer pour une ouverture au monde à travers le plurilinguisme, ne semble pas être la préoccupation première de nos décideurs, ils préfèrent plutôt s'enfermer dans l'anglosphère, car suivre le courant de la pensée dominante, c'est plus facile et moins risquer pour leurs carrières. Faudrait-il alors leur rappeler que l'anglais ne dominerait pas, s'il n'y avait pas de dominés.

Oui, résister ou se laisser coloniser, voilà la vraie question qu'il faut se poser.

RR

 

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Les écoliers à l’heure anglaise

Do you speak English ?Priorité nationale, académique et départementale, la Direction des services départementaux de l’Éducation nationale (DSDEN), par la voix de son directeur Franck Jarno, s’est saisie à bras-le-corps du dossier de l’enseignement des langues vivantes, désormais partie intégrante des programmes. Depuis quatre ans, l’Aube nourrit un effort constant qui, aujourd’hui se révèle payant. Les chiffres parlent d’eux-mêmes avec un taux d’enseignement de l’anglais de 100 % en CP en 2013 contre 3,28 % en 2009 et de 100 % en CE1 contre 35,39 %, le département rattrape son retard et peut s’enorgueillir de cette belle progression.

Une mission d’importance, portée par Sophie Battelier, conseillère départementale pour l’enseignement des langues étrangères. « Il y a une vraie volonté avec une équipe qui suit le dossier de près à la fois pour gérer le personnel, pouvant venir en appui des enseignants débutant dans cette matière, mais aussi suivre l’évolution des nouveaux outils. Les nouvelles technologies apportent une véritable plus-value. Grâce à elles, on invente de nouvelles démarches pédagogiques et on voit le résultat. Ça ouvre des perspectives pédagogiques, explique Frédéric Bigorgne, adjoint du directeur académique des services de l’Éducation nationale (Dasen).

Si du CP au CM2, l’ensemble des écoliers du département bénéficient désormais d’un enseignement en anglais, certaines écoles maternelles proposent un éveil aux langues de manière simple et ludique. « Plus on s’ouvre tôt aux sonorités étrangères, mieux c’est pour les enfants. Cela fait partie des apprentissages transversaux. Les programmes privilégient l’oral et l’échange entre les élèves à travers des activités ludiques. »

Et pour que celui-ci soit dispensé au mieux, les enseignants débutants ou expérimentés et, plus particulièrement, ceux en charge d’un CP, bénéficient d’une formation à la fois en présentiel et à distance. Plus que jamais l’ambition de l’académie de Reims est bien que « l’anglais soit un outil d’échanges et de communication par le biais d’un apprentissage ludique et culturel via les correspondants ou les voyages scolaires ».

Forte de ce constat, la DSDEN n’entend pas relâcher l’effort.

A.CH.

 

Source : lest-eclair.fr, le jeudi 30 janvier 2014

Possibilité de réagir à cet article sur :

http://www.lest-eclair.fr/accueil/les-ecoliers-a-l-heure-anglaise-ia0b0n177392

 

 

 

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Francis Huster atteint d'anglomalaria !

Bravo et merci, M. Hagège d'avoir si admirablement répondu à Francis Huster, un anglolâtre de première, lors de l'émission de Frédéric Taddeï « Ce soir ou jamais », diffusée le 24 mai 2013 sur France 2.

Ce que vous dites est clair : il ne faut pas promouvoir l'anglais dans la mesure que c'est actuellement la langue de la première puissance économique, militaire et d'espionnage du monde (les États-Unis d'Amérique), mais juste l'enseigner dans le cadre d'une politique ouverte aux langues étrangères et dans le strict respect de leurs diversités. Et partant de ce postulat toutes les langues se valent...

Devant l'anglomanie qui est en train de gagner toutes les couches de la société française - et Francis Huster en est un bel exemple -, devant cette envie irrésistible des Français à préférer la Kollaboration à la Résistance, je pense, afin de tenter de réveiller la conscience endormie du peuple, qu'il faudrait bombarder nos villes et nos campagnes, de tracts et d'autocollants aux couleurs de "Non à l'anglais colonial", "US language go home", "Non à l'anglais partout", "Non à l'anglais obligatoire dans nos écoles", etc.

Oui, résister ou se laisser coloniser, voilà la vraie question qu'il faudrait se poser suite à la triste prestation du sieur Huster !

 


 

Francis Huster, un fou d'anglais !

Possibilité de noter cette vidéo et d'y apporter un commentaire,

en allant sur : http://youtu.be/coGJcW94mhM

 

 

 

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