Connexion    



Ukraine : l'anglais devait remplacer le russe ; l'américanisation, la slavitude !

Le 7 février dernier, Emmanuel Macron est allé voir Vladimir Poutine en Russie pour lui demander de ne pas attaquer l'Ukraine et de poursuivre les discussions avec les Européens, notamment, afin de trouver une issue diplomatique à la crise ukrainienne.

Force fut de constater que Vladimir Poutine reçut Emmanuel Macron par un magistral « BONSOIR » en français, tandis que le président français lui répondait en américain « HOW ARE YOU ? ».

Voilà une séquence qui est passée totalement inaperçue aux yeux des médias et des politiciens, mais une séquence bien révélatrice cependant, qui a montré aux yeux de Vladimir Poutine qu'Emmanuel Macron, avec son « HOW ARE YOU ? », loin de représenter une nation indépendante et non-alignée dans ce conflit, n'était qu'un émissaire de Washington, un VRP de l'OTAN et le président atlantiste de l'actuel Conseil de l'Union européenne.   

Vladimir Poutine dit BONSOIR en français à Emmanuel Macron qui lui répond en anglais

Mais comment Emmanuel Macron, avec son « HOW ARE YOU ? » introductif qui l'alignait d'entrée sur la langue des Américains, pouvait-il paraître un interlocuteur sérieux aux yeux de Vladimir Poutine, un interlocuteur sérieux capable, notamment, de parler objectivement  de l'expansion de l'OTAN en Europe de l'Est et des prétentions étatsuniennes sur l'UE ?

Macron, l'anglomane, a dû plutôt rappeler à Vladimir Poutine, Piotr Porochenko, le prédécesseur de l'actuel président de l'Ukraine ; Piotr Porochenko, un pro-étatsunien qui voulait remplacer le russe en Ukraine par l'anglais.

Dans ces conditions, avec Emmanuel Macron en négociateur, comment Vladimir Poutine pouvait-il espérer un règlement équitable du conflit, un conflit qui dure depuis plus de 14 ans, durant lequel l'Accord de Minsk signé le 5 septembre 2014 n'a cessé d'être bafoué ce qui a causé la mort, notamment, de plus de 10 000 Ukrainiens russophones ?

Bref, lors de cette rencontre, on n'a pas eu l'impression que le président Macron ait parlé des vraies causes du conflit : extension de l'OTAN à l'Europe de l'Est ce qui est contraire à ce qui avait été dit à la dissolution du Pacte de Varsovie

Nous-mêmes, à l'Afrav, dans les procès qui nous opposent à des membres du gouvernement macronien, nous constatons la même façon de faire : ils ne parlent pas des vraies causes de ces procès qui sont l'anglicisation-américanisation de la France et, en l'espèce, le non-respect de la Constitution et de la loi Toubon.

Pour information :

- Procès contre la marque "Choose France"Alors qu'il ne fait aucun doute que cette marque utilise un mot anglais en contradiction avec la Constitution française et avec la loi Toubon, le ministre se défend bec et ongles pour tenter de nous prouver le contraire en évitant de parler de l'anglicisation-américanisation de la France et en contournant, autant que faire se peut, la Constitution française et de la loi Toubon.

- Procès contre les marques "French Tech"  et "Next 40". Là encore, il ne fait aucun doute que ces marques utilisent des mots anglais en contradiction avec la Constitution française et avec la loi Toubon, et pourtant  !

- Procès contre la nouvelle carte nationale d'identité bilingue français-anglais. Même problème !

Cela dit, il faut, bien évidemment, condamner l'intervention militaire de Vladimir Poutine en Ukraine, une intervention qui rappelle les heures sombres de notre histoire et qui risque de nous entraîner dans une troisième guerre mondiale, voire une guerre nucléaire, mais nous devons condamner aussi Emmanuel Macron pour son attitude proatlantiste et l’Union européenne qui est loin d'être neutre dans l’anglicisation-américanisation de l'UE.

En effet, souvenons-nous que dès 2001, elle exigeait des pays de l’Europe de l’Est désireux d’entrer dans l’UE, de remplir leur dossier d’adhésion en anglais, et en anglais uniquement. Même la Roumanie, très francophone et très francophile, fut contrainte de passer par l’anglais pour adresser sa demande !  Ainsi, les technocrates de Bruxelles ont envoyé un message fort, clair et net à toute l’Europe de l’Est, à savoir que pour devenir membre de l’Union européenne, l’anglais était obligatoire.

Cette volonté de l’UE à vouloir imposer l’anglais partout, dans tous les domaines, est une preuve irréfutable qu’elle est sous l’influence des Anglo-américains. Une preuve irréfutable qu’en servant leur langue avec autant de zèle, elle ne fait que trahir son penchant pro-atlantiste dont l’aboutissement sera réalisé par son annexion à l’empire étatsunien via le traité transatlantique, un traité négocié en grand secret et en anglais, évidemment.

Dans ces conditions, comment Vladimir Poutine peut-il considérer Emmanuel Macron et les dirigeants de l'UE, autrement que comme des gens manipulés par l’appareil anglo-américain, véritable machine de guerre à répandre la langue et la culture de l’Oncle Sam, à soumettre l’économie du vieux continent à la mode anglo-ricaine et à placer les armées européennes sous le commandement étatsunien, via leur intégration à l’Otan ?

Comment s’étonner, dès lors, que Vladimir Poutine n’ait pas envie de voir ces pseudo-européens s’installer aux portes de son pays avec les missiles, les drones et tout l’arsenal d’écoute et d’espionnage des États-Unis d’Amérique ? En son temps, les Étatsuniens ont-ils accepté que les Soviétiques usent du même stratagème pour s’installer à Cuba, à deux pas des côtes de Floride ?

Dans cette histoire, mine de rien, Vladimir Poutine, a rappelé aux Européens que demain, la Russie, comme la Chine, l’Inde, le Brésil, l’Afrique francophone, auront leur mot à dire dans les affaires du monde, et pas forcément, comme le fait actuellement l’UE, en anglais, dans le  sillage et au service de Washington.

Comble de tout, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, au lieu de pousser à l'apaisement, au lieu de proposer une conférence pour la paix à Vladimir Poutine,  préfère jeter de l'huile sur le feu en décidant au nom de l'Europe, l'envoi d'armes à l'Ukraine et en censurant la presse en Europe qui aurait le malheur de parler du conflit autrement que par la voix officielle de l'Amérique.

Voici les propos exacts d'Ursula von der Leyen, propos tenus en américain, soumission à l'empire oblige : « Nous allons interdire dans l’UE la machine médiatique du Kremlin. Les médias d’État Russia Today et Sputnik, ainsi que leurs filiales, ne pourront plus diffuser leurs mensonges pour justifier la guerre de Poutine et pour semer la division dans notre Union. Nous développons donc des outils pour interdire leur désinformation toxique et nuisible en Europe ».

Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne attaque la liberté d'expression en censurant la presse en Europe

Depuis quand l'UE a-t-elle le pouvoir de juger de ce qui relèverait de la vérité et a contrario du mensonge ? Ne montre-t-elle pas ici son vrai visage, d'autant que tous ces gens-là ne sont responsables devant personne puisque non élus ?

Rappelons ici que les seuls qui sont élus sont les eurodéputés, qui eux n'ont aucun pouvoir face à la Commission, si ce n'est de donner leur avis, et ce quand on le leur demande. Un avis consultatif.

Au-delà de ces points, c'est faire peu de cas du sens critique des citoyens, lesquels sont courtisés comme jamais en cette période électorale.

Rappelons enfin que depuis 1881, en France, il n’y a plus de censure préalable : chacun est libre de publier ce qu'il veut. Quitte à rendre des comptes devant le juge s’il viole la loi.

Mais déjà de quelle loi pourrait-il bien s'agir ici ? 

Il sera intéressant de connaître la réaction des candidats (tous européistes jusqu'à la moelle sans aucune exception, puisque Asselineau est désormais hors course) sur ce point. Mais aussi ce qu'on en dira sur les plateaux des médias, ce qu'en diront nos journalistes et ce qu'en dira le CSA (Arcom, maintenant) qui est pourtant le seul organisme en France à avoir le droit d'interdire à un média de diffuser.

Les chantres du pluralisme, du débat d'idées, etc. vont-ils s'élever comme un seul homme pour défendre la liberté de la presse ?

Alexis Poulin de RT-France Chaine d'informationcensurée par Ursula von der Leyen présidente de la Commission européenne

 

2012 : Une bagarre entre russophones et ukrainophones en plein parlement ukrainien !

L'adoption, le 5 juin 2012, d'une loi dotant le russe du statut de langue régionale (soit, de fait, de deuxième langue officielle du pays) pourrait déclencher un déferlement de violence dans ce pays où vit une importante minorité de russophones. Aux yeux des ukrainophones, le renforcement du russe aura tôt fait d'étouffer leur langue.

Pauvre Ukraine. Il est dit qu'elle ne pourra pas savourer son Euro de football en paix. Déjà accusée de tous les maux pour avoir failli ne pas être prête à temps, tandis que les rumeurs de corruption et d'incurie vont bon train, et alors que la question de l'emprisonnement de l'ex-Premier ministre, Ioulia Timochenko, suscite des remous un peu partout en Europe, la voilà maintenant empêtrée dans une querelle qui ne peut que laisser l'Occident rêveur, mais qui, pourtant, pourrait s'avérer cruciale pour l'avenir du pays.

Le 5 juin dernier, la Rada, le parlement ukrainien, a voté une loi qui confèrerait le statut de « langue régionale » au russe, dans les régions où il est parlé par plus de 10 % de la population. Autrement dit, cela revient à en faire la deuxième langue officielle du pays. Le caractère passionnel de la question linguistique en Ukraine s'était révélé le 24 mai, quand l'examen du projet à la Rada s'était terminé à coups de poing entre députés pro-russes et opposants. Pour l'hebdomadaire "Oukraïnsky Tyjden", c'est avant tout un échec cuisant de l'opposition, qui ne se serait « pas aperçue » que la loi avait été votée « en quelques secondes » : « l'opposition n'a même pas cherché à perturber l'adoption du projet de loi, et a une fois de plus démontré son incapacité (ou son manque de volonté) à se battre sur les questions clés en Ukraine ».

 Bagarre en Ukraine pour les langues russe et ukrainienneLe quotidien "Lviv Vissokiy Zamok", en Galicie, région majoritairement ukrainophone, va jusqu'à parler de "Blitzkrieg linguistique" (Note de l'Afrav "Blitzkrieg" signifie « guerre-éclair ») : « Ce qui s'est passé au Parlement est invraisemblable. Le parti des Régions [parti pro-russe actuellement au pouvoir] a réalisé un tour de passe-passe qui aurait de quoi rendre jaloux David Copperfield. En tout, il aura fallu moins de deux minutes pour que le projet de loi sur la langue soit voté, à 234 voix pour. Le tout sous le nez d'une opposition hébétée, comme hypnotisée. »

"Oukraïnsky Tyjden" évoque lui aussi la situation en termes guerriers. « La bataille politique autour de la question de la langue atteint son paroxysme, et la « guerre de la langue » ne fait que commencer ». Dès le 5 juin, sous les fenêtres du Parlement, la police dispersait aux gaz lacrymogènes les premiers affrontements entre défenseurs de la langue ukrainienne et partisans du renforcement du statut de la langue russe. Ces derniers, rapporte le quotidien russe de Moscou "Nezavissimaïa gazeta", font valoir que le russe est la langue maternelle de millions de citoyens [Russes ou Ukrainiens] en Ukraine. Les autres rétorquent que le renforcement du statut du russe, obligatoire dans toutes les écoles ukrainiennes, très présent dans les médias, car tous les journaux ont des éditions en russe et les émissions de télévision sont diffusées en deux langues, ne ferait que “réduire encore la sphère d'utilisation de l'ukrainien” (qui ne jouit du statut de langue nationale d'un État indépendant que depuis 20 ans).

Passé le premier choc, soutient Oukraïna Moloda, la résistance s'organise. Des activistes, « jeunes patriotes », et autres « orangistes », comptent « saboter l'image des députés de la majorité qui ont voté pour le russe en seconde langue ». Vissokiy Zamok affirme qu'ils ne sont pas seuls. En effet, Arséni Yatseniouk, un des ténors de l'opposition, a promis l'installation de « villages de tentes pour une durée indéterminée ». Et, reprenant à son compte une célèbre citation, aurait ajouté :  « Cette bataille, nous ne l'avons pas gagnée, mais nous allons gagner la guerre. Le projet n'a été adopté qu'en première lecture. Or, l'Ukraine connaît les noms de ceux qui l'ont trahie, ont détruit sa Constitution et sont opposés à son existence même. »

Face à un tel tumulte, les flonflons de l'Euro-2012 risquent de ne pas suffire à détourner l'attention du grand public.  

Raymond Clarinard, Laurence Habay 

Source : courrierinternational.com, le jeudi 7 juin 2012



2014 : Porochenko, l'Ukrainien, veut une Ukraine américanophone !

Ukraine : l'anglais, seconde langue obligatoire (Porochenko)

KIEV, le vendredi 3 octobre 2014 - RIA Novosti/La Voix de la Russie 

Ce n'est pas le russe, mais l'anglais qui doit être la seconde langue obligatoire en Ukraine, a estimé vendredi 3 octobre, le président ukrainien Piotr Porochenko lors d'une rencontre avec des représentants de la société civile à Lvov, dans l'Ouest du pays.

« Ce n'est pas le russe, mais l'anglais qui doit être la seconde langue obligatoire en Ukraine », a déclaré le chef de l'État, cité par l'agence locale Gai-info.

Selon M. Porochenko, « Il existe un rapport entre le niveau de vie et le niveau de maîtrise de l'anglais ».

Et de souligner qu'on ne devait pas parler du statut du russe, mais du statut de l'anglais en Ukraine.

Le président ukrainien a affirmé que les ministres devaient maîtriser l'anglais, et que c'était tout aussi nécessaire que le « nettoyage du pouvoir ».

Piotr Porochenko et les membres de son équipe parlent couramment l'anglais et s'expriment souvent en anglais lors des visites à l'étranger et dans les contacts avec leurs collègues anglophones.

Source : french.ruvr.ru, le vendredi 3 octobre 2014

Voilà comment le président Petro Porochenko en exercice traitait les Russophones d'Ukraine en décembre 2014 : « - Nos enfants iront à l'école et leurs enfants resteront dans les caves - parce qu'ils ne savent rien faire. - Nous aurons les retraites et eux non etc. »

Petro Porochenko en exercice maltraitant les Russophones d'Ukraine, décembre 2014

 

17 mars 2014 : Olivier Berruyer était l'invité de Nicolas Doze sur BFMTV

Voici une vidéo-archive claire et nette qui permet de comprendre (sans l'excuser)  Vladimir Poutine lorsqu'il parle de dénazifier l'Ukraine par son action militaire actuelle.

Il y a toujours 2 faces dans une médaille, et c'est bien de fournir des pistes de réflexion pour étudier les deux.

Olivier Berruyer, né le 26 octobre 1975 à Bron, est un blogueur français, actuaire de profession. En 2011, il fonde le site web les-crises.fr, qui traite d'analyses économiques, des crises bancaires, monétaires et institutionnelles et de géopolitique. Wikipédia



L'OTAN ne devait pas s'étendre à l'Est, par Roland Dumas

Comment l'Occident a promis à l'URSS que l'OTAN ne s'étendrait pas, par Roland Dumas, ex-ministre.

Dans cet entretien accordé au site www.les-crises.fr, Roland Dumas, qui fut ministre des affaires étrangères durant la période cruciale 1989-1991 expose les négociations avec l'URSS et confirme la promesse verbale qui lui avait alors été faite, par lui et les autres dirigeants, de ne pas élargir l'OTAN à l'Est dans le futur.



Parole d'expert : Romain Bressonnet

Le conflit russo-ukrainien commenté par Romain Bessonnet, secrétaire général du Cercle Aristote et auteur de « Poutine par lui-même ».



Parole d'expert : Alexandre Del Valle

Alexandre Del Valle, géopolitologue, auteur de La mondialisation dangereuse aux éditions L'Artilleur est l'invité d'André Bercoff.



Parole d'expert : Vincent Desportes

Vincent Desportes est expert auprès de l’Association pour le progrès du management et président de Stratforce Conseil, société de formation et de conseil en entreprise. À ce titre, il intervient régulièrement auprès des comités de directions et des dirigeants des plus grandes entreprises françaises.

Après une carrière opérationnelle qui l’a conduit à exercer des commandements multiples, Vincent Desportes s’est orienté vers la formation supérieure, la réflexion stratégique et l’international.

Grand Prix 2016 de l’Académie française, il a publié de nombreux ouvrages de stratégie et de praxéologie, ainsi que de multiples contributions à des revues françaises et étrangères.

Conférencier international, il s’exprime depuis une dizaine d’années sur les thèmes de la stratégie et du leadership (Afrav : proposons pour éviter cet anglicisme :  « meuneuriat », « cheffériat » !)  dans les métropoles des différents continents. Spécialiste reconnu des affaires stratégiques et militaires, il intervient très régulièrement en France et à l’étranger dans les grands débats radiophoniques et télévisés.



D'un journaliste d'investigation : Richard Boutry

Tous les jours Richard Boutry, ancien présentateur sur France Tv et TV5 Monde, vous propose sur https://www.laminutedericardo.com/, une chronique d‘une minute sur des faits d‘actualité ou des sujets plus intemporels, qu‘il traite avec une patte à la fois journalistique et personnelle.

Ici, il nous parle du conflit en Ukraine : Ukraine, stop à l’enfumage !



Parole d'un politicien : François Asselineau - Union Populaire Républicaine (UPR)

François Asselineau, toujours dans le respect du droit international, vous propose quelque rappels historiques pour bien comprendre la situation en Ukraine.

Erratum : 11min 27s : La tournée de George W.Bush a lieu "en 2001" et non "1991"

27min 02s : "Des bases militaires RUSSES" et non "américaines".



Parole d'une politicienne : Nathalie Arthaud- Lutte Ouvrière

Candidate pour la troisième fois à l’élection présidentielle, Nathalie Arthaud vient nous présenter sa vision de la France. À quoi ressemblerait la société française sous sa Présidence ? Quelle vision du monde ? Quelle position vis-à-vis du conflit en Ukraine ? 

Émission présenté par : Mélanie Taravant



Parole d'une politicienne : Marine Le Pen- Rassemblement National

fre



Parole d'un politicien : Jean-Luc Mélenchon- La France Insoumise

Discours de Jean-Luc Mélenchon sur la guerre en Ukraine prononcé le 1er mars 2022 :



Parole d'un politicien : Éric Zemmour- Reconquête

Éric Zemmour sur Cnews



Parole d'une politicienne : Ségolène Royal- ex-candidate socialiste à la présidentielle

"Je convoquerais une conférence internationale de la paix. Cette guerre dure depuis 2014, il ne faut pas entrer dans une logique de surenchère."

Ségolène Royal veut une conférence pour la paix pour mettre fin au conflit en Ukraine

 

Analyse de François Asselineau sur le discours d'Emmanuel Macron du 2 mars 2022 :

Analyse du discours de Macron sur l'Ukraine par François Asselineau-mars-2022

 

 

 

 




Publié par Régis RAVAT le 26 février 2022

0 personne aime cet article.


Orthographe, corrections : contact.sy@aliceadsl.fr

Défendez le français, financez des procès,

nous ne recevons aucune subvention !


Inscription à l'infolettre!

S'il vous plaît, veuillez entrer votre courriel

Digital Newsletter

Pour vous desinscrire, veuillez cliquer ici ».