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Le 17e Sommet de la Francophonie, c'est fini !

Les 11 et 12 octobre 2018, de nombreux chefs d'États et de gouvernements se sont réunis à Erevan pour le 17e Sommet de la Francophonie. Les médias français, lorsque ceux-ci ont dédaigné parler de l'évènement, ont surtout mis l'accent sur les intrigues afférents à la désignation de la Secrétaire générale.

Cela est bien triste, car les problèmes de personnes ne doivent pas masquer le problème de fond : la langue française est mise à mal partout, et notamment en France même. Elle est mise à mal  par les médias, les publicitaires, les radios et la télévision, les grandes écoles de commerce, nos universités, et même par l'Éducation nationale qui veut introduire l'enseignement obligatoire de l'anglais dès la maternelle et l'enseignement EN anglais de certaines matières.



Le 17 e Sommet de la Francophonie, c'est parti !

Le XVIIe Sommet de la Francophonie se tiend les 11 et 12 octobre 2018, en Arménie. Espérons que ce Sommet sera l’occasion de réfléchir à des pistes de réformes pour créer les conditions d’une communauté francophone plus solidaire, plus forte.

Ce sommet sera aussi l'occasion d'élire un nouveau Secrétaire général de l'OIF, l'organisation internationale de la Francophonie, comme cela se fait tous les quatre ans.



Le Burundi, le Rouanda, Kagamé, l'OIF et le Brexit !

Le Burundi se plaint du non-respect du français dans la Communauté d’Afrique de l’Est (CAE) !

Le Rouanda, qui présente un candidat au secrétariat général de l'Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) contre Mme Michaëlle Jean, avec le soutien annoncé du Président de la République française, tout en ayant un important retard dans le versement de ses cotisations à l’Organisation de l’Avenue Bosquet, n’a rien fait, au sein de la Communauté de l’Afrique de l’Est, pour soutenir le point de vue burundais sur l’usage du français.



Blanquer, pas si blanc que ça face à l’anglicisation En Marche !

Le 12 septembre 2018, Chantal Manes et Alex Taylor, deux professeurs d'anglais, remettaient à M. Jean-Michel Blanquer, le ministre de l'Éducation nationale, leurs propositions pour une meilleure maîtrise des langues vivantes étrangères à l'école.

Comme on pouvait s'y attendre, hélas, c'est l'anglais qui a remporté la mise, nos deux anglicistes ayant proposé au ministre de mettre l'anglais obligatoire partout dans nos écoles, et cela le plus tôt possible, c'est-à-dire dès la maternelle. Ils ont même proposé que des cours puissent être donnés directement en anglais, tels que des cours d'histoire, de géographie, de mathématiques, etc.

Mais comment en est-on arrivé là ? Comment peut-on demander à deux professeurs d'anglais (dont un est d'origine britannique) quelle serait pour la France la meilleure politique à mener dans ses écoles pour l’enseignement des langues étrangères vivantes ?

Eh oui, apprendre les exploits de Jeanne d'Arc en anglais, il fallait y penser !



Consultation publique sur l’emploi des langues au sein de l’Union européenne (UE)

Pour ne parler que du seul critère de la langue, l'UE, pour la France et pour la plupart des pays européens, n'est pas un espace de liberté linguistique puisque, depuis le traité de Maastricht (1992), c'est-à-dire depuis le tournant ultralibéral, marché mondial sans frontières et libre-échangiste de l'Union, tous les états non anglophones ont été peu à peu soumis au diktat de l'anglais-roi.



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